It was the spring of 1997, and I was in my first year studying degree in engineering in a quaint town of Jalpaiguri in north Bengal. The campus was a nature lover’s paradise — the north and west peripheries abutted the verdant Danguajhar tea garden, two silvery rivers meandering along east and west boundaries. In spring, the soft breeze blew from the north — down from the Dooars, the hinterland of the eastern Himalayas. Nothing could provide more thrilling backdrop to the spine-chilling, bloodcurdling experience that I witnessed on that spring night, which I’m going to unfurl.
আমাদের এক নম্বর হোস্টেলের একতলায় উত্তরের দিকে ছিল একটা বড় কমন রুম, যেখানে হোস্টেলের সবাই সময় কাটাতে আসত। কমন রুমে ছিল একটা কালার টিভি, গোটা তিন ক্যারাম বোর্ড আর সেই লিস্টে নতুন আমদানি একটা ঝাঁ চকচকে টেবিল টেনিস বোর্ড। কমন রুমের দরজার উল্টোদিকের দেয়ালে, টিভি স্ট্যান্ডের পাশে আরেকটা ছোটমত দরজা। সেই দরজার পেছনে একটা ছোট্ট ঘর, আমরা বলতাম নিউজ রুম। সে ঘরে ছিল খালি একটা দেয়াল জোড়া বড় টেবিল আর দুপাশে দু সারি বেঞ্চি। নিউজ রুমের পেছনের দেয়াল জুড়ে খড়খড়ি দেয়া জানলা, যেখানে তাকালে তিন নম্বর হোস্টেলের রাস্তা তার পর থেকে চা বাগান শুরু। নিউজ রুমটা ছিল হোস্টেলের পড়ুয়া ছেলেদের খবরের কাগজ পড়ার জায়গা। ঘরটা খোলা হতো ১২টা থেকে ৪-৫টা অবধি, শনি রবিবার আরেকটু আগে থেকে। তবে খুব বেশি লোকজন যে ব্যগ্র ছিল সারা বিশ্বের খবর জানার জন্যে তা বললে ভুল হবে। ঘরটা বেশির ভাগ সময় ফাঁকাই থাকত।
Cette année le ping-pong eut particulièrement favorite parmi les étudiants. Nous avons reçu quelque financement sportif, et donc venue une nouvelle et chique table du ping-pong. Cette année nous partagions l’auberge avec les étudiants de troisième année, et il y avait quelques règles sans être écrits, pour exemple, jouer en premier ou voir la chaine de télé préférée. Sauf si un certain étudiant de 3ème année eut pitié des premières années attendant avec impatience, ça faisait une attente trop longue avant qu’on put jouer. Les premières années avaient de la chance après le dîner, quand les troisièmes années commençaient à retourner vers ses chambres pour étudier ou joindre les championnats des cartes. Mon colocataire Tathagata et moi, nous étions très intéressés d’apprendre ping-pong, mais l’attente semblait continuer sans fin.
Notre histoire commence un de ses soirs quand nous nous sommes dits qu’on en a eu assez et il a fallu faire quelque chose de diffèrent si nous voulions jouer. Nous avons décidé que malgré avoir la classe le lendemain, nous attendrons jusqu’à ce que les troisième années sont partis et il n’y a personne attendant ses tours. Notre décision a finalement payé, quand vers 23:30h, la foule commença à vider la salle de jeux. Les lampes au-dessus les planches du carom ont été éteints, les planches ont été couvertes, la télé a été éteint. Peu à peu la salle devint complètement vide, sauf que quelques premières années, également passionnés comme nous d’améliorer leurs compétence de ping-pong . Après chaque jeu, on changeait la tour avec les autres groupes, mais aucun eut très précisé, et donc l’attente n’était jamais plus de dix minutes. Les dernières groupes sont retournés à ses chambres vers minuit et demi, nous laissant la chambre entièrement, faiblement éclairé par une seule lampe au-dessus de la table de ping-pong.
Tic…toc…tic…toc…tic…toc…our ears gradually got bored to the incessant din of the ping pong ball on the bat. Arms got heavier, yet high on spirit, we carried on, mastering the spinning serves or backhand smashes, and the hands of the clock on the wall nonchalantly kept telling us the time 1:00 to 1:30 to 2:00. As I stood facing the door, tired of the ball going outside the common room, Tatha shut the door and we carried on playing with same élan. We were extremely tired, yet we continued like zombies, as if we were being controlled by some remote psychomotor commands and our only aim was to keep on playing.
আমাদের একঘেয়েমি ভাঙলো তথা সার্ভ করতে গিয়ে হঠাৎ থমকে দাঁড়ানোয়। ওর দিকে তাকিয়ে দেখলাম যে ও আমার পেছনের দেয়ালের দিকে কিছু একটা দেখছে। একে এত রাত তার ওপর সময় নষ্ট, জিজ্ঞাসা করলাম
– কিরে সার্ভ করছিসনা কেন? থামলি কি কারণে?
চোখ না সরিয়ে তথা উত্তর দিল
– মনে হলো কিছু একটা যেন নড়ছিল ঐ দরজাটার দিকে।
তথার আঙ্গুল নিউজ রুমের দরজার দিকে নির্দেশ করছে।
– ধুর ওখানে আবার কি নড়বে। পোকামাকড় হবে।
তাই হবে। হয়ত ল্যাম্পের আলোটা কোথাও রিফ্লেক্ট করে চোখে পড়েছে।
আবার শুরু করলাম খেলা কিন্তু ঠিক করলাম যে তিনটে গেম খেলব কে জিতবে ঠিক করার জন্যে, তারপর রুমে ফিরে যাব।
It was halfway through our game, when Tatha smashed a winner and the ball rolled on towards the back end of the room. Just as I picked the ball up and was coming back to the table, I looked at Tatha and saw his startled face, and the frowned eyes looking behind me. By nature, I can imagine things quite easily and be scared, nevertheless usually I still can keep my logical hat on — only real things make me afraid. Looking Tatha in such a state sent a gush of adrenalin through my blood, and my body became instantly alert to witness something out of the ordinary. My heart racing, I asked Tatha again
— what’s the matter with you now?
— I saw the lock move.
— what nonsense. You must have seen the light reflecting on the lock.
À ce moment-là, j’ai regagné ma sang-froid. Une serrure bougeant!!! j’étais au point de rire aux éclats. Pour que nous soyons surs et finissions le jeu, j’ai décidé a rentrer vers la porte de News room. En voyant le coin, quand-même, ça m’a fait un peu peur encore, avec la faible lueur de la lampe, les murs et coins mal-éclairés et ombreux – ça faisait un air très étrange et mystérieux. La serrure restait comme avant – pièce de métal sans-vie, accroché au verrou comme prévu. J’ai crié à Tatha
– Voilà, tu vois! Il n’y a rien et personne ne la bougeait. Allons-y finir ce jeu et retournons à la salle, il est trop tard.
Tatha semblait rassurée, et j’ai commencé à rentrer à la table de ping-pong.
Suddenly my composure was shattered by a rather uncharacteristic raspy shout by Tatha
— HONU, I swear it just moved again!
With a déjà vu moment, my composure disappeared again, and I started to doubt my logical self, thinking something sinister was about to happen. Goosebumps shot up all over my fatigued and sweaty body, yet I tried to run through all plausible explanations why Tatha saw the lock move.
— what do you mean? It’s not the time for a prank you know!
— I swear it MOVED! Oh look, IT NOVED AGAIN!!! Come away Honu, something spooky behind that door it’s trying to come out!
এটা শুনেই হাড় হিম হয়ে গেল আমার। কমন রুমে খালি আমি আর তথা দুজনেই পনের বিশ ফুট দুরে যখন তথা প্রথম বার দেখতে পেয়েছিল। তালাটা যদি নিজে নিজে নড়ে তাহলে সেটা যে ভৌতিক কান্ড তা আর বলার অপেক্ষা রাখেনা। তা সত্ত্বেও পালাবার আগে একবার দেখে নেয়ার উৎকন্ঠা সামলাতে পারলামনা। পেছন ঘুরে দাঁড়ালাম নিউজ রুমের দরজার সামনে। তালা আবার আগের মত ঝুলছে, নড়ার কোনো চিহ্নই নেই। বামুনকে খিস্তি মারব বলে ঘুরতে যাচ্ছি ঠিক সেই সময় চোখের সামনে যা ঘটল তার বর্ণনা এখনো পুঙ্খানুপুঙ্খ মনে রয়েছে। তালার থেকে আমার চোখ হয়ত পাঁচ ফুট হবে মেরেকেটে, অত কাছ থেকে ভুল দেখা সম্ভব নয়। তালাটা যেন হঠাৎ কোনো জাদুমন্ত্রে প্রাণ ফিরে পেল। প্রথমে একটু নড়ে উঠলো, তারপর তলার হুকের দিকটা কড়ার মধ্যে থাকলেও তাকে কেন্দ্র করে তালার মেন বডিটা ঘুরে উপরের দিকে উঠতে লাগলো – প্রথমে আসতে আসতে, তারপর বেশ তাড়াতাড়িই। তালা যখন থামল তার যাত্রা শেষ করে, চাবির দিকটা আমার চোখের সামনে। চাক্ষুষ একটা তালা ঘুরে নিচের দিকটা উপরে হয়ে দাঁড়িয়ে, নিউটন সাহেবের মাধ্যাকর্ষণ নস্যাৎ করে।
Il y a des moments en ma vie que je ne pourrai jamais oublier, et n’importe quand, je me peux les souvenir sans aucune difficulté, sans perdre aucun détail. Ce moment-là, ce printemps soir a devenu un de ces moments, un moment quand j’avais peur que je n’avais jamais ressenti. Ces sont les moments quand, n’importe comment logique vous êtes, la raison sort le cerveau, et vous êtes laissé dans un état de choc et confusion. La peur. La crainte. C’était tous ce que je sentais à ce moment. Mon cœur battait trop fort comme s’il allait sortir ma poitrine. Il fallait qu’on fuissent mais comme si une force inconnue m’attrapé dans la terre. Je ne pouvais pas mouvoir mes jambes, comme s’il étaient remplis de plomb. La serrure, dans sa position défiant la gravité, semblait d’envoyer un certain message du monde surnaturel, de fantasme au notre monde animé et la serrure était la dernier protection de l’écran – la porte de News room, entre les deux mondes.
L’adrénaline dan mes veine a du fait ma perception temporelle extrêmement prolongée, comme tous ce moment d’un regard hypnotisé sur la serrure et sa mouvements n’a pas dure plus de dix secondes. Je suis arrive mes sens retour quand j’ai écouté Tatha crie
– হনু পালা। ওই ঘরে ভূত আছে।
Ce cri m’a rapporté aux mes sens et éclaté l’état de mesmérisme. La phénomène qui m’attrapé dans ma place est levée, et je pouvais enfin mouvoir. Je me souviens que j’étais déjà croisée Tatha avant qu’il a fini sa phrase, en jetant les batte de ping-pong sur table. Il a fallu que nous ayons fermé la porte a clé, et avec les mains tremblants, ça nous a fait quelques minutes, que nous ne devenions pas perdre. Je pensais que touts les temps que nous perdons, la terreur de l’obscurité et la fantasme étaient un peu plus proche de nous consommer. Se réfléchir ce moment après un vingtaine d’ans, nous étions comme les dernières lignes du chanson Hotel California, <<Last thing I remember, I was running for the door, I had to find the passage back to the place I was before>>. Au dehors de la salle de jeux, la foyer était faiblement éclairé, et il y avait une foule de bicyclettes bloquant notre chemin. Nous avons couru vers notre chambre, jetant quelques bicyclettes en route. Tout le temps on craignait quelque chose de sinistre va se passer, notre existence était en danger. Quand nous sommes rentrés dans notre chambre, nous étions au but du souffle. Nous ne pouvions pas croire ce qui s’est passé devant notre yeux-même. Le cœur battant forcement, je jouais ces évènements dans mes cerveau mais malheureusement, je n’ai plus trouvé aucune explantation. La rencontre avec l’autre cotes du monde-vivant fait disparaitre tous nos courage et raison. Était-il un âme perdu? Ou peut-être il y avait quelque chose d’horrible est arrivée dans cette salle de News room. Nous ne saurons jamais ce qu’il était, mais cet incident cette nuit de printemps est définitivement été gravées dans mon mémoire, même si je souhaite plutôt qu’il n’a jamais passé. Nous savions que le lendemain, quand nous raconterons notre histoire, personne ne croira notre expérience. Pourtant, nous nous souviendrons toujours ces quelques secondes qui mettent notre existence en question – notre rencontre avec l’autre côté. L’incident du «fantôme serrure» allait devenir l’un des moments les plus mémorables de ma vie, ainsi que les plus grands mystères, parce que je ne serai jamais savoir, c’était qui a levé la serrure dans l’air pour toute la durée que nous étions là. En réfléchissant la salle faiblement éclairé, le tic-tocs du ping-pong, les mosaïques inexplicables formé par l’ombre et la lueur de la lampe, une serrure bougeant – il me va toujours faire me demander, ce qui était là, derrière cette sombre porte ce soir-là? Si seulement je savais. Ou plutôt pas …
পরিশেষ: কি ছিল দরজার পেছনে সেই রহস্যের যবনিকা উঠলো পরদিন। যেমনটা আশা করেছিলাম ঠিক তাই। যতজনকে বললাম আমাদের অভিজ্ঞতার কথা সবাই অনেক ঠাট্টা করলো। এসব নাকি ছিল আমাদের কল্পনা আর গোঁড়া কুসংস্কার। দুপুরের দিকে একদল ফার্স্ট ইয়ার আমাদের টানতে টানতে নিয়ে গেল কমন রুমে। উদ্দেশ্য প্রমান করা যে আমরা ভুল দেখেছি। আমাদের যাবার কোনো প্রবৃত্তি ছিলনা তাই পেছনে দাঁড়িয়ে রইলাম, বাকিরা প্রবল উৎসাহে দরজার সামনে দাঁড়িয়ে জরিপ করতে লাগলো চারদিক। হঠাৎ সেই ভরদুপুরে আমাদের দু জোড়া নয় একগাদা চোখের সামনে তালা আবার ওপরের দিকে ঘোরা আরম্ভ করলো। অতিউৎসাহীর দলের সেই উচ্ছ্বাস নিমেষে মিলিয়ে গেল, সবাই যে যার মত দরজার দিকে দৌড়তে আরম্ভ করলো। দাঁড়িয়ে ছিল যতদুর মনে পড়ে বিক্রম আর ডিফেন্স। ওরা খানিক পিছু হঠে আবার গেল দরজার সামনে, আর তখনি বোঝা গেল আসল কারণ। ওরা দেখল যে নিউজ রুমের দরজাটা নড়ছে, আর যতবার দরজা পেছনের দিকে সরছে তালাটা ওপরের দিকে ওঠার চেচ্টা করছে ঠেলা মেরে। এতক্ষণে বোঝা গেল দায়ী টা কে। সেটা ছিল ডুয়ার্স থেকে ভেসে আসা বাতাস – নিউজ রুমের খড়খড়ি পেরিয়ে ওই হাওয়া ঠেলা মারছিল দরজায় আর দরজার কড়া তালাকে ঠেলছিল খাড়া হবার চেষ্টায়। রহস্য সমাধান হয়ে গেল, অতি সাহসীরা আবার ফিরে এলো, পিঠ চাপড়ানো হলো সবার, আমি আর তথা হয়ে গেলাম আবার খোরাকের টার্গেট যেহেতু আমরা দুয়ে দুয়ে চার করতে পারিনি। সত্যি আর কল্পনার জগতের তফাতটা রাতের দিকে অনেক বেশি অস্পষ্ট, দিনের বেলা যা পরিষ্কার ভাবে দেখা যায়, রাতের বেলা আলো আঁধারীতে তাকেই মনে হয় ভৌতিক। মনে কিন্তু খটকাটা রয়েই গেল। সেই রাত্তিরে ওই দরজার পেছনে সত্যিই কি কেউ ছিল? উত্তরটা মনে হয় লুকিয়ে আছে আমাদের মনের ভেতর। কেউ ছিল সে রাত্রে যদি আমরা মনে করি কেউ ছিল। যদি মনে করি ছিলনা, তাহলে সেটা শুধু হাওয়ার খেলা।
PPS: On that night, after coming back in our room, we realised that we needed to go to the toilet, yet could not walk along the empty and dark corridor again to, nor open the grilled window to do it. So we used Rahul Singh’s bucket we borrowed the previous day for shower. If Rahul ever reads this, this is an unreserved apology for peeing in your bucket without permission, under unavoidable circumstances.