Monday, 16 November 2015

La serrure possédée: un histoire de quasi fantasme

C’était les printemps de l’année 1997, quand j’étais étudiant d’ingénierie dans l’université, situé près des nord-est provinces d’Inde. Jalpaiguri, la ville de l’uni, est connue comme un paradis pour les gens qui aiment la nature. D’habitude, le campus fut aussi magnifique — avec un plantation de thé aux côtés nord et ouest, découpée par les chemins de fer connectant les provinces nord-est, et deux rivières argentées à l’est et l’ouest, qui roulèrent lentement chaque jour— ainsi formée la périphérie de notre campus. Les printemps, une brise légère soufflait sur Danguajhar, le plantation de thé, mais fondée centaines de kilomètres au nord, dans les forêts des Dooars — sur pas de Himalayas de l’est. Sans doute, cela fit un derrière plan tout parfait pour cet histoire de fantasme j’eus témoin, que je vais raconter. 
Au nord de notre immeuble eût une grande salle de jeux — équipée avec une télé, trois jeux de Carom, et le dernier ajout, une table de ping-pong . En face de la porte, à l’autre coin de la salle eût une petite porte, qui ouvrit dans une petite salle. Nous, les résidents du immeuble, l’appelions le News Room. Dans cette salle-là, il y avait seulement trois meubles —  une grande table et deux bancs — un à chaque coté. Deux fenêtres donnaient sur la rue vers l’immeuble pour les étudiants des année finale, et derrière la rue commença la plantation de thé — toute verte et élégante. Le News Room eût réservé pour lire les journaux quotidiens ou magazines. La salle n’ouvrait qu’entre 12h et 16h, quand les étudiants mieux sérieux de sa carrière passeraient le congé savoir les actualités autour du monde, tandis que les autres jouaient au Carom ou cartes. 
Cette année le ping-pong eut particulièrement favorite parmi les étudiants. Nous avons reçu quelque financement sportif, et donc venue une nouvelle et chique table du ping-pong. Cette année nous partagions l’auberge avec les étudiants de troisième année, et il y avait quelques règles sans être écrits, pour exemple, jouer en premier ou voir la chaine de télé préférée. Sauf si un certain étudiant de 3ème année eut pitié des premières années attendant avec impatience, ça faisait une attente trop longue avant qu’on put jouer. Les premières années avaient de la chance après le dîner, quand les troisièmes années commençaient à retourner vers ses chambres pour étudier ou joindre les championnats des cartes. Mon colocataire Tathagata et moi, nous étions très intéressés d’apprendre pingpong, mais l’attente semblait continuer sans fin.
Notre histoire commence un de ses soirs quand nous nous sommes dits qu’on en a eu assez et il a fallu faire quelque chose de diffèrent si nous voulions jouer. Nous avons décidé que malgré avoir la classe le lendemain, nous attendrons jusqu’à ce que les troisième années sont partis et il n’y a personne attendant ses tours.  Notre décision a finalement payé, quand vers 23:30h, la foule commença à vider la salle de jeux. Les lampes au-dessus les planches du carom ont été éteints, les planches ont été couvertes, la télé a été éteint. Peu à peu la salle devint complètement vide, sauf que quelques premières années, également passionnés comme nous d’améliorer leurs compétence de ping-pong . Après chaque jeu, on changeait la tour avec les autres groupes, mais aucun eut très précisé, et donc l’attente n’était jamais plus de dix minutes. Les dernières groupes sont retournés à ses chambres vers minuit et demi, nous laissant la chambre entièrement, faiblement éclairé par une seule lampe au-dessus de la table de ping-pong. 
Tic…toc…tic…toc…la bruit de la balle contre la batte devenait plus en plus ennuyeuse. Nos corps trop fatigués, mais tout de même nous continuions avec plein de l’esprit. La horloge semblait ennuyeuse aussi en nous montrant le temps 1:00…1:30…2:00. Toutes les fois que je gagnais l’échange, la balle sortait hors de la salle, donc Tatha est allé fermer la porte. Nous avons recommencé dans la salle tout isolé du monde au dehors, et le son a tout à fait doublé à cause de résonner contre la mur loin de la table. Nous avons déjà oublié de la class le lendemain, et comme les Zombies, comme automates contrôlés par les commandes distants, on a continué à jouer, comme si c’était le seul but de notre vie.
l’état d’ennui est enfin cassé quand Tatha, avant de servir, a hésité et arrêté pour un instant, en regardant quelque chose derrière moi. 
– Qu’est ce qui ce passe? Pourquoi tu ne sers pas?
– Je pense que j’ai vu quelque chose bouge au coin, vers la porte de News room.
J’ai tourné vers la porte, mais rien n’a aperçu par mes yeux. Nous avons rengagé en notre jeu et tout oublié trop tôt. Une autre demi-heure est passée, nous ne pouvions pas continuer pour longtemps et donc décidés de jouer trois dernières jeux, dont l’un qui gagne deux sera vainqueur. 
Pendant notre deuxième jeu, Tatha a frappé la balle forcément, que je n’ai pas pu retourner. La balle a roulé vers la coin ombreuse, ou se trouvait la télé et la porte de News room. Tout que j’ai ramassé la balle et revenais a table, j’ai regardé à Tatha et son regard m’a tout à fait étonné. Sa visage complètement blanche comme une papier, yeux froncés, en essayant regarder quelque chose derrière moi. D’habitude, à mon enfance, grâce à lire toutes les types de livres, je le trouve très facile à imaginer quelque chose de bizarres, et en avoir peur. Quand j’ai vu Tatha dans tel état, j’ai tout de suite imaginé que quelque chose d’extraordinaire va se passer devant mes yeux. Malgré la fatigue, mon corps est devenu instamment alerte et un jet de Adrénaline a retardé la passage du temps. Mon cœur battrait trop fort, j’ai demandé:
– Qu’est-ce qui se passe maintenant? Quel est le problème?
– J’ai vu la serrure bouger. Là-bas!
Il indiquait la porte de News room encore!
– Quel absurdité! Comment peut la serrure bouger quand il n’y a personne ici sauf que nous?
– Mais j’en suis sur cette fois!
– Je ne te crois pas. Peut-être tu as vu la lumière reflétant de la serrure. 
À ce moment-là, j’ai regagné ma sang-froid. Une serrure bougeant!!! j’étais au point de rire aux éclats. Pour que nous soyons surs et finissions le jeu, j’ai décidé a rentrer vers la porte de News room. En voyant le coin, quand-même, ça m’a fait un peu peur encore, avec la faible lueur de la lampe, les murs et coins mal-éclairés et ombreux – ça faisait un air très étrange et mystérieux. La serrure restait comme avant – pièce de métal sans-vie, accroché au verrou comme prévu. J’ai crié à Tatha
– Voilà, tu vois! Il n’y a rien et personne ne la bougeait. Allons-y finir ce jeu et retournons à la salle, il est trop tard.
Tatha semblait rassurée, et j’ai commencé à rentrer à la table de ping-pong . 
Soudain, Tatha cria avec un ton très effrayant, et ma sang-froid est cassée et disparue. 
– Hanu! Voir encore, ça bouge…je te dis que la porte bouge maintenant. Vois-la!
J’ai commencé à douter ma logique et croire que quelque chose de sinistre allait se passer. Mon cœur courrait trop fort mais j’essayais à avoir raison pour les évènements – pourquoi la serrure semblait bouger. 
– Qu’est-ce que ça vaut dire Tatha? Tu rigoles ou quoi? Ce n’est pas l’heure, tu sais!
– Je le jure Hanu! Là, regarde, ÇA BOUGE ENCORE!! Cours maintenant, cette porte est possédée. Il y a quelque chose de sinistre derrière la porte! Il faut fuir!
Sinistre et moi, ça ne marche pas bien. Mais tout de même, en savoir ce quoi qui se passe avec la serrure, plutôt que de fuir, j’ai retourné et pris quelques pas vers la porte, en regardant curieusement la serrure. Le temps doivent s’est arrêté à ce moment-là, comme je voyais la serrure rester paresseusement contre le verrou, comme si c’est nous qui avons tort et rien ne s’est passé. Et puis ce se passait!! J’ai vu avec mes yeux-même que la serrure a commencé à bouger, et rien ne le faisait bouger. Pas seulement un tremblement soudain, la serrure a commencé a Renverser, d’abord lentement, et puis plus en plus rapide tant qu’elle a été complètement renversé avec la trou de serrure en face de moi.
Il y a des moments en ma vie que je ne pourrai jamais oublier, et n’importe quand, je me peux les souvenir sans aucune difficulté, sans perdre aucun détail. Ce moment-là, ce printemps soir a devenu un de ces moments, un moment quand j’avais peur que je n’avais jamais ressenti. Ces sont les moments quand, n’importe comment logique vous êtes, la raison sort le cerveau, et vous êtes laissé dans un état de choc et confusion. La peur. La crainte. C’était tous ce que je sentais à ce moment. Mon cœur battait trop fort comme s’il allait sortir ma poitrine. Il fallait qu’on fuissent mais comme si une force inconnue m’attrapé dans la terre. Je ne pouvais pas mouvoir mes jambes, comme s’il étaient remplis de plomb. La serrure, dans sa position défiant  la gravité, semblait d’envoyer un certain message du monde surnaturel, de fantasme au notre monde animé et la serrure était la dernier protection de l’écran – la porte de News room, entre les deux mondes. 
L’adrénaline dan mes veine a du fait ma perception temporelle extrêmement prolongée, comme tous ce moment d’un regard hypnotisé sur la serrure et sa mouvements n’a pas dure plus de dix secondes. Je suis arrive mes sens retour quand j’ai écouté Tatha crie
– Hanu, la porte est possédée. Courrons-nous à la chambre!
Ce cri m’a rapporté aux mes sens et éclaté l’état de mesmérisme. La phénomène qui m’attrapé dans ma place est levée, et je pouvais enfin mouvoir. Je me souviens que j’étais déjà croisée Tatha avant qu’il a fini sa phrase, en jetant les batte de ping-pong  sur table. Il a fallu que nous ayons fermé la porte a clé,  et avec les mains tremblants, ça  nous a fait quelques minutes, que nous ne devenions pas perdre. Je pensais que touts les temps que nous perdons, la terreur de l’obscurité et la fantasme étaient un peu plus proche de nous consommer. Se réfléchir ce moment après un vingtaine d’ans, nous étions comme les dernières lignes du chanson Hotel California, <<Last thing I remember, I was running for the door, I had to find the passage back to the place I was before>>. Au dehors de la salle de jeux, la foyer était faiblement éclairé, et il y avait une foule de bicyclettes bloquant notre chemin. Nous avons couru vers notre chambre, jetant quelques bicyclettes en route. Tout le temps on craignait quelque chose de sinistre va se passer, notre existence était en danger. Quand nous sommes rentrés dans notre chambre, nous étions au but du souffle. Nous ne pouvions pas croire ce qui s’est passé devant notre yeux-même. Le cœur battant forcement, je jouais ces évènements dans mes cerveau mais malheureusement, je n’ai plus trouvé aucune explantation. La rencontre avec l’autre cotes du monde-vivant fait disparaitre tous nos courage et raison. Était-il un âme perdu? Ou peut-être il y avait quelque chose d’horrible est arrivée dans cette salle de News room. Nous ne saurons jamais ce qu’il était, mais cet incident cette nuit de printemps est définitivement été gravées dans mon mémoire, même si je souhaite plutôt qu’il n’a jamais passé. Nous savions que le lendemain, quand nous raconterons notre histoire, personne ne croira notre expérience. Pourtant, nous nous souviendrons toujours ces quelques secondes qui mettent notre existence en question – notre rencontre avec l’autre côté. L’incident du «fantôme serrure» allait devenir l’un des moments les plus mémorables de ma vie, ainsi que les plus grands mystères, parce que je ne serai jamais savoir, c’était qui a levé la serrure dans l’air pour toute la durée que nous étions là. En réfléchissant la salle faiblement éclairé, le tic-tocs du ping-pong, les mosaïques inexplicables formé par l’ombre et la lueur de la lampe, une serrure bougeant – il me va toujours faire me demander, ce qui était là, derrière cette sombre porte ce soir-là? Si seulement je savais. Ou plutôt pas …
PS: En fait, il a été découvert ce qu’il était le lendemain matin. Comme prévu, notre histoire a été accueillie avec le ridicule et le mépris. À midi, une groupe des premières années alla à la porte, pour prouver qu’il était seulement notre imagination et de la superstition. Et encore une fois, en plein jour, la serrure a commencé à bouger et puis se lever … montant lentement avant tout le monde, le trou de serrure en face de leurs yeux. L’hystérie qui a suivi était incroyable. La plupart de la groupe a disparu, courant aussi vite que possible. Mais certains braves retournèrent à la porte. Précisément, a ce moment-la, le mystère dévoilé, comme ils ont remarqué que la porte mouvait. C’était le printemps Dooars brise jaillissant intérieur de News room poussant la porte. La brise a fait la porte frapper et donc bougea la serrure. Le mystère a été résolu, la salve de dérision contre nous a été quadruplé que nous n’avions pas comprendre cette simple raison. Pourtant, je me souviens de cette nuit comme il est arrivé, lorsque les lumières et les ombres jouaient avec notre cerveaux, et le manque de lumière à brouillé la ligne entre les mondes de la réalité et l’imaginaire. Peut-être il y avait quelque chose ou quelqu’un derrière cette porte ce soir-là, mais nous ne le saurons jamais. Il y était probablement si vous en croyez, ou rien si vous ne le croyez pas …

টেবিল টেনিস, অথবা নিছক ভুতের গল্প

সেটা ১৯৯৭ সালের কথা, তখন জলপাইগুড়িতে ইঞ্জিনিয়ারিং পড়ছি প্রথম বর্ষে। বসন্ত কাল, পরীক্ষা-টরীক্ষা নেই কাছেপিঠে, হাতে তাই অফুরন্ত সময়। যারা প্রাকৃতিক দৃশ্য ভালবাসে, আমাদের ক্যাম্পাসটা তাদের জন্যে সোনায় সোহাগার মত। উত্তর দিকটা জুড়ে ডেঙ্গুয়াঝাড় চা বাগান, সেদিকে তাকালে যতদুর চোখ যায় সবুজ আর সবুজ, আর বাগানের বুক চিরে চলে গেছে রেললাইন উত্তর-পূর্বের রাজ্যগুলোর দিকে। পশ্চিম জুড়েও চাবাগান দুরে, তার আগে করলা নদীর ওপর রেলব্রিজ। ক্যাম্পাসের পশ্চিম আর পূর্ব দিক দিয়ে এঁকেবেঁকে বয়ে চলেছে করলা আর রুকরুকা দুই নদী। বসন্তকালে চা বাগানের দিক থেকে বয়ে আসে দারুন মৃদুমন্দ হাওয়া, উত্তর দিকে ডুয়ার্স আর তার ওপরে পূর্ব হিমালয়ের হাতছানি নিয়ে। যে রাতটার হাড় হিম করা ভয়ংকর অভিজ্ঞতার কথা এখন লিখতে যাচ্ছি তার জন্যে এই বসন্ত কালের পরিবেশ ছিল আদর্শ পটভূমিকা।
আমাদের এক নম্বর হোস্টেলের একতলায় উত্তরের দিকে ছিল একটা বড় কমন রুম, যেখানে হোস্টেলের সবাই সময় কাটাতে আসত। কমন রুমে ছিল একটা কালার টিভি, গোটা তিন ক্যারাম বোর্ড আর সেই লিস্টে নতুন আমদানি একটা ঝাঁ চকচকে টেবিল টেনিস বোর্ড। কমন রুমের দরজার উল্টোদিকের দেয়ালে, টিভি স্ট্যান্ডের পাশে আরেকটা ছোটমত দরজা। সেই দরজার পেছনে একটা ছোট্ট ঘর, আমরা বলতাম নিউজ রুম। সে ঘরে ছিল খালি একটা দেয়াল জোড়া বড় টেবিল আর দুপাশে দু সারি বেঞ্চি। নিউজ রুমের পেছনের দেয়াল জুড়ে খড়খড়ি দেয়া জানলা, যেখানে তাকালে তিন নম্বর হোস্টেলের রাস্তা তার পর থেকে চা বাগান শুরু। নিউজ রুমটা ছিল হোস্টেলের পড়ুয়া ছেলেদের খবরের কাগজ পড়ার জায়গা। ঘরটা খোলা হতো ১২টা থেকে ৪-৫টা অবধি, শনি রবিবার আরেকটু আগে থেকে। তবে খুব বেশি লোকজন যে ব্যগ্র ছিল সারা বিশ্বের খবর জানার জন্যে তা বললে ভুল হবে। ঘরটা বেশির ভাগ সময় ফাঁকাই থাকত।
যে সালটার কথা বলছি সে বছর টেবিল টেনিস খেলার একটা ধুম পড়েছিল হোস্টেলের ছাত্রদের মধ্যে। স্পোর্টস ফান্ডের টাকায় এলো নতুন বোর্ড, তার সাথে বেশ কিছু নতুন ব্যাটও। আমরা ফার্স্ট ইয়াররা থাকতাম থার্ড ইয়ারের ছেলেদের সাথে, কাজেই কমন রুমে একটা অলিখিত নিয়ম ছিল যে থার্ড ইয়ারের ছেলেরা খেলা, টিভির সামনে সিট এসবে প্রথম চান্স পাবে। টেবিল টেনিসেও তাই লম্বা লাইন পড়ত খেলার জন্যে, সেখানে থার্ড ইয়ারের ছেলেদেরই অগ্রাধিকার, যদিনা কেউ দয়া করে ফার্স্ট ইয়ারের কুচোকাঁচাদের একটা গেম খেলতে দিতো। ফার্স্ট ইয়াররা খেলার চান্স পেত রাতের দিকে যখন সিনিয়াররা পরের দিনের সেশনাল বা ব্রিজের আসর নিয়ে ব্যস্ত হয়ে পড়ত। আমার রুমমেট ছিল তথা – তথাগত বামুন, আমরা দুজনেই টেবিল টেনিস খেলার জন্যে খুব উৎসাহী ছিলাম কিন্তু রোজ রোজ অনেক রাত অবধি অপেক্ষা করেও খুচরো এদিক ওদিক এক-আধটা গেম ছাড়া কপাল খোলেনি। আমাদের তিন নম্বর রুমমেট বিক্রম ছিল তুখোড় টেবিল টেনিস খেলুড়ে তাই শেখার গরজটা আমাদেরই  বেশি ছিল। 
ঘটনার সূত্রপাত এরকমই এক রাতে যখন আমরা ঠিক করলাম যে যথেষ্ট হয়েছে সেই রাতে এসপার-ওসপার হয়ে যাবে। পরদিন ক্লাস থাকা সত্ত্বেও ঠিক করলাম যত দেরিই হোক না কেন সে রাতে কমন রুম ফাঁকা হওয়া অবধি অপেক্ষা করব তারপর টানা যতক্ষণ ইচ্ছে প্র্যাকটিস চালিয়ে যাব। প্ল্যান যে কাজ করছে সেটা বোঝা গেল সাড়ে এগারোটা নাগাদ কমন রুম ফাঁকা হতে শুরু করায়। ক্যারম বোর্ডের আলোগুলো একে একে নিভতে শুরু করলো, বোর্ড ঢাকা পড়ল নেভি ব্লু কভারে। টিভি তখনও চলছিল তবে দেখার লোক বলতে গোটা দুই। হাতে গোনা কয়েকজন ফার্স্ট ইয়ার রয়ে গেলাম টেবিল টেনিস খেলার জন্যে। প্রতিটা গেমের পর অন্যদের সাথে হাত বদল করছিলাম কিন্তু সবাই আনাড়ি তাই একটা গেম পাঁচ দশ মিনিটও টিকছিল না। রাত সাড়ে বারোটা নাগাদ শেষ জুড়ি ঘুমোতে চলে গেল, রয়ে গেলাম তথা আর আমি। ফাঁকা কমন রুম, টেবিল টেনিস বোর্ডের মাথার ওপর টিমটিম করে জ্বলা আলো, আলো-আঁধারী তার মাঝে চুটিয়ে শুরু হলো দুই আনাড়ির টেবিল টেনিস প্র্যাকটিস।
ঠকাঠক ঠকাঠক। ব্যাট আর বলের আওয়াজ প্রথমে কানে না আসলেও খানিকক্ষণ পর শব্দটা একঘেয়ে বিরক্তিকর লাগতে শুরু করলো। অনেকে বলে টেবিল টেনিস খেলাটা সবচেয়ে কঠিন, রিফ্লেক্স খুব ধারালো না হলে এ খেলা রপ্ত করা কঠিন। কিছুক্ষণ খেলার পর সেটা আমরা হাড়ে হাড়ে টের পেতে শুরু করলাম। হাত পা শরীরচর্চার অভাবে ঝনঝন করছে, তবু জেদের বশে চলতে থাকলো রেলি। ঘড়ির কাঁটাগুলো একবগ্গা ঘুরে ঘুরে সময় বয়ান করতে লাগলো একটা দেড়টা দুটো, আমাদের খেলার উৎসাহে ক্ষান্তি পড়লনা তবুও। নিশিগ্রস্ত মানুষদের মত আমি আর তথা চালিয়ে যেতে লাগলাম সার্ভ স্লাইস স্ম্যাশ। আমি খেলছিলাম কমন রুমের পেছনের দেয়ালের দিক থেকে, আর তথা ছিল দরজার দিকে। আমি যতবার জিতছিলাম রেলিতে বলটা গড়িয়ে গড়িয়ে কমন রুমের বাইরে চলে যাচ্ছিল তাই দরজাটা ভেজিয়ে দিয়ে আবার শুরু হলো প্র্যাকটিস।
আমাদের একঘেয়েমি ভাঙলো তথা সার্ভ করতে গিয়ে হঠাৎ থমকে দাঁড়ানোয়। ওর দিকে তাকিয়ে দেখলাম যে ও আমার পেছনের দেয়ালের দিকে কিছু একটা দেখছে। একে এত রাত তার ওপর সময় নষ্ট, জিজ্ঞাসা করলাম
 – কিরে সার্ভ করছিসনা কেন? থামলি কি কারণে?
চোখ না সরিয়ে তথা উত্তর দিল
– মনে হলো কিছু একটা যেন নড়ছিল ঐ দরজাটার দিকে।
তথার আঙ্গুল নিউজ রুমের দরজার দিকে নির্দেশ করছে।
– ধুর ওখানে আবার কি নড়বে। পোকামাকড় হবে। 
– তাই হবে। হয়ত ল্যাম্পের আলোটা কোথাও রিফ্লেক্ট করে চোখে পড়েছে। 
আবার শুরু করলাম খেলা কিন্তু ঠিক করলাম যে তিনটে গেম খেলব কে জিতবে ঠিক করার জন্যে, তারপর রুমে ফিরে যাব। 
প্রথম গেমের মাঝপথে তথা একটা স্ম্যাশ মারলো, সেটা ফেরাতে পারলামনা, বলটা গড়িয়ে চলে গেল কমন রুমের পেছন দিকে, টিভি আর নিউজ রুমের কোনটায়। বল কুড়িয়ে ফিরে আসছি হঠাৎ চোখ তুলে তথার দিকে তাকিয়ে চমকে উঠলাম। ও আবার আমার পেছনের দেয়ালের দিকে তাকিয়ে, চোখ বিস্ফারিত খানিকটা বিস্ময় খানিকটা আতঙ্ক জুড়ে ওর মুখে চোখে। ছোটবেলা থেকে গাদা গুচ্ছের বই পড়ে পড়ে রজ্জুতে সর্পভ্রম আমার স্বভাব, তাই ছোটখাটো ঘটনাকেও মনে মনে তিলকে তাল করে ভয় পাওয়া আমার কাছে নতুন কিছু নয়। তবু সেই রাত্রে তথাকে ওভাবে অবাক চোখে তাকিয়ে থাকতে দেখে মনটা ছ্যাঁত করে উঠলো আমার। যতই ঘাবড়ে যাইনা কেন, এই মুহূর্তগুলোতে অ্যাড্রিনালিন শরীরকে হঠাৎ সজাগ করে দেয়। সময় থমকে দাঁড়ায় সব ঘটনাবলী বিচার করে সঠিক সিদ্ধান্ত নেয়ানোর জন্যে। মাথা তখন লজিক খুঁজতে শুরু করে, অলীক কান্ডকারখানায় তার তখন কোনো আগ্রহ নেই। সেরকমই সেই মুহুর্তে দাঁড়িয়ে তথার দিকে তাকিয়ে জিজ্ঞেস করলাম 
– কিরে আবার কি হলো?
– নিউজ রুমের তালাটা নড়ছিল।
– ধুর কি যা তা বলছিস।  তালা আবার নড়বে কি করে? আলো রিফ্লেক্ট করেছে সেটাই দেখেছিস হয়ত। 
ভেবেছিলাম তথা বলবে আমার পেছনে কেউ ছুরি হাতে দাঁড়িয়ে আছে। সেটা বললে প্রাণ খাঁচাছাড়া হয়ে যেত। ও যখন বলল তালা নড়ছে, মনে আবার স্বস্তি ফিরে পেলাম। তালা আবার কি নড়বে! খানিক বীরপুরুষের মত যাচাই করে দেখার জন্যে ফিরে গেলাম দরজার কাছে। নতুন স্টেনলেস স্টিলের তালা দরজার কড়া থেকে ঝুলছে। নড়াচড়ার কোনো চিহ্ন নেই। তবে হ্যাঁ টেবিল টেনিসের টেবিল থেকে এদিকটা দেখতে যেমন লাগছিল এখন দরজার সামনে আলো আঁধারীতে দাঁড়িয়ে চারপাশের অন্ধকারটা যেন একটু বেশিই গাঢ় মনে হচ্ছে। বেশিক্ষণ দাঁড়িয়ে থাকার কোনো ইচ্ছেই নেই ওই ভুতুড়ে ছায়া আবছায়া ঘেরা কোনে, তাই তথাকে হেঁকে বললাম 
– দেখ তালা যে কে সেই কিচ্ছু নড়ছেনা এখানে। ভুল দেখেছিস। চল এই গেমটা শেষ করে শুতে যাই, অনেক রাত হলো। 
তথাও দেখলাম নিশ্চিন্ত যে চাক্ষুষ যাচাই করে নিয়েছি আমরা তালা নড়ছেনা।
ফেরার জন্যে সবে দুই পা বাড়িয়েছি হঠাৎ তথা বেশ জোরে অথচ আতঙ্কগ্রস্ত চাপা গলায় বলে উঠলো 
– হনু ওই আবার নড়ছে। 
এত চেষ্টা চরিত্র করে মনটাকে যে শান্ত করেছিলাম সেটা আবার নিমেষে উধাও হয়ে গেল। যেন ছুরিওলা আততায়ী আবার আমার পেছনে এসে দাঁড়িয়েছে। গায়ের তো সব লোম খাড়া হয়ে গেছে ঘামে ভেজা হওয়া সত্ত্বেও। নাড়ি দৌড়চ্ছে উর্ধশ্বাসে, তবু কোনমতে মনে জোর এনে আবার বললাম 
– নড়ছে মানে? ইয়ার্কি মারছিস না তো এত রাতে?
– মাকালীর দিব্যি।  ওই দেখ আবার নড়ছে তালাটা সরে আয় তাড়াতাড়ি। 
এটা শুনেই হাড় হিম হয়ে গেল আমার। কমন রুমে খালি আমি আর তথা দুজনেই পনের বিশ ফুট দুরে যখন তথা প্রথম বার দেখতে পেয়েছিল। তালাটা যদি নিজে নিজে নড়ে তাহলে সেটা যে ভৌতিক কান্ড তা আর বলার অপেক্ষা রাখেনা। তা সত্ত্বেও পালাবার আগে একবার দেখে নেয়ার উৎকন্ঠা সামলাতে পারলামনা। পেছন ঘুরে দাঁড়ালাম নিউজ রুমের দরজার সামনে। তালা আবার আগের মত ঝুলছে, নড়ার কোনো চিহ্নই নেই। বামুনকে খিস্তি মারব বলে ঘুরতে যাচ্ছি ঠিক সেই সময় চোখের সামনে যা ঘটল তার বর্ণনা এখনো পুঙ্খানুপুঙ্খ মনে রয়েছে। তালার থেকে আমার চোখ হয়ত পাঁচ ফুট হবে মেরেকেটে, অত কাছ থেকে ভুল দেখা সম্ভব নয়। তালাটা যেন হঠাৎ কোনো জাদুমন্ত্রে প্রাণ ফিরে পেল। প্রথমে একটু নড়ে উঠলো, তারপর তলার হুকের দিকটা কড়ার মধ্যে থাকলেও তাকে কেন্দ্র করে তালার মেন বডিটা ঘুরে উপরের দিকে উঠতে লাগলো – প্রথমে আসতে আসতে, তারপর বেশ তাড়াতাড়িই। তালা যখন থামল তার যাত্রা শেষ করে, চাবির দিকটা আমার চোখের সামনে। চাক্ষুষ একটা তালা ঘুরে নিচের দিকটা উপরে হয়ে দাঁড়িয়ে, নিউটন সাহেবের মাধ্যাকর্ষণ নস্যাৎ করে। 
আমাদের জীবনে এরকম অনেক মুহূর্ত আসে যেগুলো কখনো চেষ্টা করেও ভোলা যায়না। ৯৭য়ের সেই রাত্রির সেই মুহুর্তটাও সেরকমই এক ক্ষণ যখন নিজের অস্তিত্বকে মনে হয় অবান্তর, মনে হয় এতদিন যা শিখে, জেনে, বিশ্বাস করে এসেছি এক লহমায় তা ভেঙে চুরমার হয়ে গেল। তাত্ত্বিক যৌক্তিক সত্ত্বাটাকে জলাঞ্জলি দিয়ে মনে ঢুকে আসে ভয়। ঠিক সেই সময়টাতে ভয়কে যেমন ভাবে প্রত্যক্ষ করেছি, সেরকম জীবনে এখনো অবধি আর কখনো হয়নি। ভয় এসে যেন সারা শরীরটাকে বিকল করে দিয়ে গেল। রূপকথার জাদুর ছোঁয়ায় বা মেডুসার চোখের চাহনিতে মানুষ যেমন পাথর হয়ে যায়, সেরকমই যেন পা দুটোকে কেউ ফেভিকল দিয়ে মেঝেতে এঁটে দিয়ে গেছে। সম্মোহিতের মত তাকিয়ে রইলাম ছায়া আবছায়া ঘেরা টিমটিমে আলো পড়া তালাটার দিকে, যেন সেটার ওপরই নির্ভর করছে আমাদের ভাগ্য, তালা খুলে গেলে দরজার ওপারের প্রেত জগৎ গ্রাস করে নেবে আমাদের।
– হনু পালা। ওই ঘরে ভূত আছে। 
সম্বিত ফিরে এলো তথার গলায়। ও কথা শেষ করার আগেই আমি আদ্ধেক রাস্তা পেরিয়ে এসেছি। ব্যাটগুলো ছুঁড়ে ফেললাম বোর্ডের ওপর কিন্তু কড়া নিয়ম সব আলো নিভিয়ে কমন রুমের দরজা লক করে তবেই যাওয়া যাবে। কতক্ষণ লেগেছিল সেগুলো সারতে মনে নেই, খালি মনে হচ্ছিল প্রতিটা সেকেন্ড দেরী করছি তালা লাগাতে, ওপারের থেকে আমাদের দুরত্বটাও কমে আসছে বেশ খানিকটা করে। কমন রুমের বাইরে আলো একটু রয়েছে সিঁড়ির কাছে সেখানে সব ছাত্রদের সাইকেল রাখা। দৌড়তে গিয়ে দুমদাম পড়ল দু চারটে সাইকেল, তখন আমাদের দাঁড়িয়ে সেগুলো খাড়া করার সময় নেই। সিঁড়ি থেকে অন্ধকার করিডোর দিয়ে উর্দ্ধশ্বাসে ঘরে ফিরে দরজাটাকে যত ভাবে সম্ভব এঁটে কান খাড়া করে দাঁড়িয়ে রইলাম কিছু শুনতে পাওয়া যায় কিনা দেখতে। বুক তখন ধড়ফড় করছে, ওপারের জগতের থেকে কয়েক গজ দুরে ছিলাম সেটা ভেবেই হাড় হিম হয়ে রয়েছে তখন, চোখের সামনে রিপ্লে দেখতে পাচ্ছি তালাটার চলাফেরা। তবু মন জানতে চাইছে ঠিক কি ছিল দরজার পেছনে। নিউজ রুমে কি কেউ কখনো আত্মহত্যা করেছিল? নাকি এরা চা বাগান আর করলার দিকে ধানক্ষেতে গুমখুন হওয়া আত্মা, চাঁদনি রাতে চা বাগানে ভেসে বেড়ানো প্রেতকুল? রুমে ফিরে আমি আর তথা অনেক বিচার করে দেখলাম যে আমাদের বিভ্রান্তি বিন্দুমাত্রও কাটেনি বরং বেড়েছে। তবে আর একটা ব্যাপারও মনে হলো তখন। পরদিন লোকজনকে বললে যে তারা আমাদের প্রচুর খোরাক দেবে তা তখনি পরিস্কার হয়ে গিয়েছিল, আমাদের রক্ত জল করা অভিজ্ঞতা যে আর কেউ বিশ্বাস করবে তা একবারের জন্যও মনে হয়নি। সে হোক বা, আমরা এটুকুই ভাবতে পারছিলাম তখন যে আমরা দুজনেই একটা ঘটনা প্রত্যক্ষ করেছি যার কোনো যৌক্তিক ব্যাখ্যা আমাদের নেই। কি ছিল সেটা জানতে না পারলেও এই ঘটনাটা মনের মধ্যে গেঁথে গেল চিরদিনের জন্যে। তালা ভুতের সেই ঘটনা আমার জীবনের স্মরণীয় মুহূর্তগুলোর মধ্যে একটা। চোখ বুজলে এখনও দেখতে পাই সেই আবছায়া ঘেরা কমন রুম, চেয়ার থাম এসবের ছায়ায় ঘেরা নিউজ রুমের দরজা, শুনশান রাতের নিস্তব্ধতা আর এসবের মাঝে খাড়া হয়ে দাঁড়িয়ে থাকা একটা তালা – অধিভৌতিকের চরম অভিজ্ঞতা। মন তবু প্রশ্ন করে সেই রাত্রে ওই দরজার পেছনে কি ছিল? খেদ রয়েই গেল যে সেটা জানতে পারলাম না। যদি পারতাম তবে কি আজ আমি থাকতাম? কে জানে।
পরিশেষ: কি ছিল দরজার পেছনে সেই রহস্যের যবনিকা উঠলো পরদিন। যেমনটা আশা করেছিলাম ঠিক তাই। যতজনকে বললাম আমাদের অভিজ্ঞতার কথা সবাই অনেক ঠাট্টা করলো। এসব নাকি ছিল আমাদের কল্পনা আর গোঁড়া কুসংস্কার। দুপুরের দিকে একদল ফার্স্ট ইয়ার আমাদের টানতে টানতে নিয়ে গেল কমন রুমে। উদ্দেশ্য প্রমান করা যে আমরা ভুল দেখেছি। আমাদের যাবার কোনো প্রবৃত্তি ছিলনা তাই পেছনে দাঁড়িয়ে রইলাম, বাকিরা প্রবল উৎসাহে দরজার সামনে দাঁড়িয়ে জরিপ করতে লাগলো চারদিক। হঠাৎ সেই ভরদুপুরে আমাদের দু জোড়া নয় একগাদা চোখের সামনে তালা আবার ওপরের দিকে ঘোরা আরম্ভ করলো। অতিউৎসাহীর দলের সেই উচ্ছ্বাস নিমেষে মিলিয়ে গেল, সবাই যে যার মত দরজার দিকে দৌড়তে আরম্ভ করলো। দাঁড়িয়ে ছিল যতদুর মনে পড়ে বিক্রম আর ডিফেন্স। ওরা খানিক পিছু হঠে আবার গেল দরজার সামনে, আর তখনি বোঝা গেল আসল কারণ। ওরা দেখল যে নিউজ রুমের দরজাটা নড়ছে, আর যতবার দরজা পেছনের দিকে সরছে তালাটা ওপরের দিকে ওঠার চেচ্টা করছে ঠেলা মেরে। এতক্ষণে বোঝা গেল দায়ী টা কে। সেটা ছিল ডুয়ার্স থেকে ভেসে আসা বাতাস – নিউজ রুমের খড়খড়ি পেরিয়ে ওই হাওয়া ঠেলা মারছিল দরজায় আর দরজার কড়া তালাকে ঠেলছিল খাড়া হবার চেষ্টায়। রহস্য সমাধান হয়ে গেল, অতি সাহসীরা আবার ফিরে এলো, পিঠ চাপড়ানো হলো সবার, আমি আর তথা হয়ে গেলাম আবার খোরাকের টার্গেট যেহেতু আমরা দুয়ে দুয়ে চার করতে পারিনি। সত্যি আর কল্পনার জগতের তফাতটা রাতের দিকে অনেক বেশি অস্পষ্ট, দিনের বেলা যা পরিষ্কার ভাবে দেখা যায়, রাতের বেলা আলো আঁধারীতে তাকেই মনে হয় ভৌতিক। মনে কিন্তু খটকাটা রয়েই গেল। সেই রাত্তিরে ওই দরজার পেছনে সত্যিই কি কেউ ছিল?  উত্তরটা মনে হয় লুকিয়ে আছে আমাদের মনের ভেতর। কেউ ছিল সে রাত্রে যদি আমরা মনে করি কেউ ছিল।  যদি মনে করি ছিলনা, তাহলে সেটা শুধু হাওয়ার খেলা।

Saturday, 7 November 2015

The curious incident of the phantom lock

It was the spring of 1997, and I was in my first year studying degree in engineering in a quaint town of Jalpaiguri in north Bengal. The campus was a nature lover's paradise — the north and west peripheries abutted the verdant Danguajhar tea garden, two silvery rivers meandering along east and west boundaries. In spring, the soft breeze blew from the north — down from the Dooars, the hinterland of the eastern Himalayas. Nothing could provide more thrilling backdrop to the spine-chilling, bloodcurdling experience that I witnessed on that spring night, which I'm going to unfurl. 

On the northern side of our first year hostel, there was a common recreation room, with a TV, a number of carom boards and the latest addition — a new table tennis board. At the far corner, a door led to a small ante room, filled with a long table and narrow benches, and large slatted windows opening up to the lush greens of the tea gardens. We used to refer it as News room, and it only opened at daytime between midday and 4 pm. At lunchtime, keen students would spend the lunch break in this room, soaking up the news around the world, to sharpen their general knowledge, whilst the other despotic ones would turn the TV on, or try a game of carom or some table tennis. 

That year, table tennis was particularly favourite as the hostel received a sports funding and the boarders saw the swank new table tennis board, and a number of thick rubber padded new bats. We shared the hostel with third year students, and there was an unwritten rule that they get to play first, unless some senior took pity on the eagerly waiting hapless fresher, looking dejected from the long wait. The first years started to flock around the tables after dinner, as the seniors began to go back to their rooms for coursework or bridge sessions. My roommate Tatha and I were very keen to find some time to hone our paddling skills, yet the wait seemed to be endless. 

Our story begins on one such weekday evening, when we had enough and decided to stay back as long as it took to play more than just one game. Our perseverance finally paid off, when around 11:30pm the crowd started to disperse. Lights over carom boards went out first, boards covered with dark blue jackets, then a while later TV was turned off as the last few of the TV addicts got up to get ready for bed. Just a few more of our classmates hovered around, and taking turns after each game, we were not too disappointed. The last two or three went to bed about half past midnight, leaving us the empty common room, a dimly lit incandescent lamp just over the table tennis board — barely struggling to illuminate past the rickety steel chairs behind us. 

Tic…toc…tic…toc…tic…toc…our ears gradually got bored to the incessant din of the ping pong ball on the bat. Arms got heavier, yet high on spirit, we carried on, mastering the spinning serves or backhand smashes, and the hands of the clock on the wall nonchalantly kept telling us the time 1:00 to 1:30 to 2:00. As I stood facing the door, tired of the ball going outside the common room, Tatha shut the door and we carried on playing with same élan. We were extremely tired, yet we continued like zombies, as if we were being controlled by some remote psychomotor commands and our only aim was to keep on playing. 

That state of active ennui broke when Tatha paused for a moment before serving and looked past me, and stood still. "What's going on? Why aren't you serving?", I asked. Tatha paused for a moment then said, "I thought I saw something flash around that door". He was pointing at the door to the news room. Then he said it must be the light catching something. We carried on playing and soon forgot about it. Another half hour passed, and we decided to call it a day after best of three sets. 

It was halfway through our game, when Tatha smashed a winner and the ball rolled on towards the back end of the room. Just as I picked the ball up and was coming back to the table, I looked at Tatha and saw his startled face, and the frowned eyes looking behind me. By nature, I can imagine things quite easily and be scared, nevertheless  usually I still can keep my logical hat on — only real things make me afraid. Looking Tatha in such a state sent a gush of adrenalin through my blood, and my body became instantly alert to witness something out of the ordinary. My heart racing, I asked Tatha again
— what's the matter with you now?
— I saw the lock move. 
— what nonsense. You must have seen the light reflecting on the lock. 
At this point, I have gained my composure back. I reasoned my thoughts, that we have been playing for a long time, with the main door to the common room shut, so no one could have come in. I looked back at the news room door and the new lock on the hasp and staple bolts. Although the dimly lit room, barely managing to illuminate the dark corners, created an eerie sight, I decided to overcome my initial fear and walked up to the door. The lock remained as it was — lifeless lump of metal, hanging from the latch as expected. Its stainless steel body throwing back some of the paltry light coming from the lamp over the table tennis board. I shouted back at Tatha "see there's nothing here, the lock did not move! Let's just have this game and get back to the room". Tatha looked reassured as well. So I started walking towards the board trying to reconvene where we left the game.

Suddenly my composure was shattered by a rather uncharacteristic raspy shout by Tatha
— HONU, I swear it just moved again! 
With a déjà vu moment, my composure disappeared again, and I started to doubt my logical self, thinking something sinister was about to happen. Goosebumps shot up all over my fatigued and sweaty body, yet I tried to run through all plausible explanations why Tatha saw the lock move. 
— what do you mean? It's not the time for a prank you know! 
— I swear it MOVED! Oh look, IT NOVED AGAIN!!! Come away Honu, something spooky behind that door it's trying to come out!
Spooky and I don't get along very well, yet out of indomitable urge to know what's going on, rather than running away, I took a few steps back towards the news room door, curiously watching the lock. Time must have stood still at that moment, as I saw the lock still lying limp on the door latch…and then it happened! I stood a metre away from the door, and right in front of my eyes, the lock started to move! Not just an odd shake, the lock started to turn upwards. The shackle of the lock still fastened through the staple part of the latch, the lock turned up — first gradually moving only millimetres, then much faster — and then it stopped with the keyhole facing me.

There are moments in my life, which I will never forget, and can reminisce any time without a chance of that memory's fading away, and that moment was the most scared I've ever felt. These are the moments, where logic bids adieu scratching its head as it had no explanation, leaving the witness in a state on utter shock and fear. Fear. That's is all I could feel engulfing me rapidly, the molten fear running through my veins, my heart trying to burst apart in anticipation of what's happening next. My limbs felt all numb, even if I knew my mind is telling me to run, my legs felt as if they were filled with lead. Transfixed at the gravity defying position of the lock, at that moment of time, it seemed that the lock is trying to send some message to the animate world from the supernatural, and it was the last bastion that's protecting the barrier that was the news room door between the dead and the undead. 

The adrenaline in my blood must have made my perceptions of time extremely prolonged, as all that feeling and moments of mesmerised gaze on the lock didn't last more than five seconds, when I got my senses back by Tatha's scream
— Honu, come away from that door! It's haunted. RUN NOW!!!
That shout broke me free of the spell that phenomenon I just witnessed cast over me. Before Tatha could finish his sentence, I was running off, throwing the table tennis bats on the board. We had to turn all the light off, despite fearing the darkness will swallow us, and had to lock the common room door — fumbling with the keys with shaking hands.  Outside, we were met with dimly lit foyer, strewn with the boarders' bicycles. We ran to our room, throwing a few cycles along the way, along the dark corridor, still fearing something through the darkness would just grab my ankles. Entering our room, we bolted the door in all possible combinations and pressed our ears against the door, if they could pick up any faint movement in the corridor. Our encounter with the other side left us completely sapped of energy, courage or reason. My heart pounding incessantly, I kept running the events that unfolded right in front of my eyes over and over, yet found no explanation to the moment of paralysing fear I just experienced. May be it was some lost soul trying to find its way back to the living world, may be there was something terrible happened in the News room ages ago? May be it was those spirits of murdered people in the tea garden or the paddy fields, who glide over the eerie tea gardens on moonlit nights. We will never know who or what it was, but that incident on that Spring night has permanently been etched in my mind, although I rather wish it never happened to me. At that very moment Tatha and I both stood dumbfounded, without any answer. All we knew is, that the next day when we tell our story, we will become a laughing stock, no one will believe the bloodcurdling experience. Yet, we will always remember those few seconds that put ur existence in question — our encounter with the other side. The incident of "phantom lock" would become one of the most memorable yet frightening moments of my life, as well as the biggest mysteries, because I will never fathom out, who or what it was that lifted the lock in the air and held it up for all the duration we were there. Reminiscing of the dimly lit common room, the tic-tocs of the table tennis, the inexplicable mosaics formed by the light and shadow from the lamp and amid that background, a moving lock — it always made me wonder, what was there behind that dark News room door that night? I wish I knew. I only wish. Or rather not…

PS: In fact it was discovered what it was the next morning. As predicted, our story was met with ridicule and disdain. At lunchtime finally a troupe of classmates went to the door, to prove that it was only a figment of our imagination and boorish superstition. And yet again, in broad daylight, the lock began to move…slowly rising up before everyone could see the keyhole right in front of their eyes. The hysteria that followed was deafening. Most of the disbeliever band was dispersed, running as fast as they can. But some brave ones stepped back and then went back to the door again. It was just then the mystery unveiled, as they noticed the door was moving. It was that Spring dooars breeze gushing inside the News room through the slatted windows and pushing the door. The hasp of the latch was moving, pressing the lock to move with it. The mystery was solved, backs patted, the salvo of derision against us was quadrupled that we didn't figure out this simple causality. Yet I will remember that night as it happened, when the lights and shadows played games with our mind, and the lack of daylight smudged the defined line between the worlds of reality and fantasy. May be there was something else behind that door that night, but we will never know. There probably was if you believe there was, or nothing if you don't believe…

PPS: On that night, after coming back in our room, we realised that we needed to go to the toilet, yet could not walk along the empty and dark corridor again to, nor open the grilled window to do it. So we used Rahul Singh's bucket we borrowed the previous day for shower. If Rahul ever reads this, this is an unreserved apology for peeing in your bucket without permission, under unavoidable circumstances. 

Monday, 19 October 2015

তেইদে উপত্যকায় একদিন

অতলান্তিক মহাসাগরের বুকে আফ্রিকা মহাদেশের উত্তর পশ্চিম কোণে সাতটি দ্বীপ। স্পেনের অধীনে তাই স্পেনীয় ভাষায় এদের নাম Islas Canarias বা ক্যানারী দ্বীপপুঞ্জ। তার মাঝে সবচেয়ে বড় দ্বীপ হলো Tenerife। স্পেনীয়রা উচ্চারণ করে তেনেরিফে, ইংরেজরা বলে টেনেরিফ, খটখটে জার্মানরা আরো এককাঠি ওপরে গিয়ে বলে টেনেরিফফা। আকার প্রকারে বিশেষ বড় না হলেও পশ্চিম জগতে তেনেরিফে বেশ চেনা নাম। প্রতি বছর ঝাঁকে ঝাঁকে ইংরেজ ফরাসী জার্মান পর্যটকরা ভিড় করে ক্যানারী দ্বীপপুঞ্জে বিষুবরেখার কাছাকাছি সূর্যের পুরো তেজ উপভোগ করার জন্যে। তার ওপর আছে অতলান্তিক মহাসাগরের সুনীল উচ্ছ্বল জলরাশির হাতছানি। সেসব বিবেচনা করে সোফিয়ার প্রথম বিমানযাত্রার গন্তব্য হিসেবে ঠিক করলাম অক্টোবরের তেনেরিফে, যাতে গ্রীষ্মকালের আগুনে তাপের বদলে শরতের উষ্ণ আবহাওয়ায় ছুটিটা উপভোগ করা যায়। সাতদিনের সেই অবিস্মরনীয় অভিজ্ঞতার পুরো বর্ণনা দেয়া অসাধ্য, তাই সবচেয়ে উল্লেখযোগ্য দিনটার কথাই বিশদভাবে লিখলাম এখানে, তবে সেই সাথে রইল তেনেরিফের একটা সংক্ষিপ্ত ছবি।

তেনেরিফে দ্বীপটার আকার অনেকটা কাঁচা হাতের বানানো প্রথম পরোটার মত - এমনিতে তিনকোনা, উত্তর দিকটা যেন ত্রিভুজের একটা বাহু তারপর পূর্ব আর পশ্চিম দিকের দুটো বাহু দক্ষিনে গিয়ে মিশেছে। আর উত্তর পূর্ব দিকটা যেন খানিকটা টেনে লম্বা করা। ক্যানারী দ্বীপপুঞ্জ হলো অতলান্তিক মহাসাগরের বুক ফুঁড়ে ওঠা কিছু আগ্নেয় পর্বতের সমষ্টি, বহু বছর ধরে উদ্গীরণের লাভা জমে জমে দ্বীপগুলোর সৃষ্টি। তেনেরিফের অন্যতম বৈশিষ্ট সেরকমই এক আগ্নেয় পর্বত Pico de Teide বা তেইদে পর্বতশৃঙ্গ। শেষ অগ্ন্যুৎপাত হয় ১৯০৯ সালে, সেই তেইদে পর্বকেই বলা যেতে পারে তেনেরিফের মূল কেন্দ্র। তেইদে থেকে শুরু করে গোটা দ্বীপটার চারদিকে আগ্নেয় পাথরের পর্বতমালা, যার উচ্চতা তেইদের আশেপাশে ২৫০০মি থেকে কমতে কমতে একদম তটরেখার কাছে হঠাৎ ঢালু হয়ে সমুদ্রে মিশেছে। একেবারে দক্ষিনে যেখানে ত্রিভুজের দুই বহু মিলেছে সেখানে খানিকটা সমভূমি, বাকি যে কোনো দিকে দাঁড়িয়ে সমুদ্রের উল্টোদিকে চাইলেই দেখা যাবে পাহাড় শুরু হয়ে গেছে আর সবার মাথা ছাড়িয়ে সুদূরে অবস্থান করছে সেই তেইদে যা স্পেনের সর্বোচ্চ পর্বতশিখর। দক্ষিন আর পূর্বদিকের পাহাড়গুলো ঊষর আগ্নেয় পাথরে তৈরী তবে পশ্চিম আর উত্তরে তাকালে দেখা যাবে সবুজ পাহাড়ের রাশি। সেই সব পাহাড়ের রাশি আর সমুদ্র তার মিশ্রনে তৈরী হয়েছে প্রকৃতির এক অননুকরণীয় ভূমিরূপ। বিচ মানেই যে সোনালী বালুকাবেলার ধারণা করি আমরা তেনেরিফের তট তার চেয়ে সম্পূর্ণ আলাদা। আগ্নেয় পাথরের আর লাভার সংমিশ্রনে সেই বালির রং ঘোর কালো। সেই কালো সমুদ্রতটে যখন আছড়ে পরে উদ্দাম অতলান্তিক মহাসাগরের ঢেউ, আর দুরে চাইলে সমুদ্র আর আকাশের নীল যে কোথায় মিশেছে তা ঠাহর করা যায়না, তখন মনে হয় প্রকৃতি তার নিজের খেয়ালে এই পৃথিবীকে কি অপুর্বভাবেই না সাজিয়েছে।
পুয়ের্তো দে লা ক্রুজ সমুদ্রতট 
তেনেরিফেতে যে শহরে আমরা ছিলাম তার নাম পুয়ের্তো দে লা ক্রুজ, উত্তর দিকে এক বড় শহর। উল্লেখ্য যে এই দ্বীপের বেশির ভাগটাই পাথুরে পর্বত বলে তেনেরিফের সব বড় শহরগুলোই একদম সমুদ্রের ধারে। পুয়ের্তো দে লা ক্রুজ থেকে হাইওয়ে পশ্চিমে চলে গেছে ইকদ দে লস বিনোস হয়ে গারাচিকোর  দিকে যেখানে সমুদ্রে সারি সারি ডলফিন খেলা করে, অনেকে যায় সমুদ্রে শুধু ডলফিন দেখতেই। অন্য দিকে হাইওয়ে প্রথমে পূর্বে তারপর দক্ষিনে বাঁক নিয়ে তেনেরিফের প্রধান শহর সান্তা ক্রুজ দে তেনেরিফে ছুঁয়ে চলে গিয়েছে দক্ষিনে এয়ারপোর্টের দিকে লস ক্রিস্তিয়ানোস, আদেখে অবধি। দ্বীপের এই উত্তর দক্ষিন বিভাগের সাথে জুড়ে আছে মানুষের বেড়ানোর পছন্দ অপছন্দ। দক্ষিন দিকটা খুব বানিজ্যিক, হোটেল বাড়িঘর সব চোখধাঁধানো, খাবারের রেস্তোঁরার রকম অগুন্তি। এদিকে বিশেষ করে আসে ইংরেজরা মার্কিনরা তাদের দেশের বাইরে দেশের সুযোগ সুবিধা স্বাচ্ছন্দ্য বেশি প্রিয়। অন্যদিকে উত্তর দিকে গেলে সবই স্পেনীয়। খাবারের জায়গাগুলো মূলত স্পেনীয় খাবারই বিক্রি করে আর বাড়িঘর সাধারণ। স্পেন দেশে গিয়ে সেখানকার মানুষদের আদব কায়দা রীতি নীতি শিল্প ভাস্কর্য দেখতে হলে উত্তরই শ্রেষ্ঠ। এদিকের বেশীরভাগ থাকতে আসা লোকই জার্মান। উত্তর বেশ প্রাকৃতিক, দক্ষিন সে তুলনায় বেশ কৃত্রিম। তেনেরিফের পূর্ব দিক জুড়ে ছড়িয়ে আছে অনেক ছোট ছোট শহর।  পশ্চিম দিকটা সেই তুলনায় অনেকটা দুর্গমই বলা চলে, তবে সেদিকের প্রাকৃতিক সৌন্দর্যও সেই তুলনায় অপূর্ব।
পুয়ের্তো দে লা ক্রুজ
যে দিনটা নিয়ে লেখার অবতারণা সেই দিনের কথায় যাওয়া যাক। তেনেরিফের উত্তর দক্ষিন সব দিকের রিসর্টগুলো থেকেই তেইদে পর্বতের একটা আদ্ধেক দিনের ট্যুর করা হয়।  তেইদের মূল আকর্ষণ হলো পর্বতের বেস ক্যাম্প থেকে রোপওয়ে যেটা প্রায় হাজার মিটার উঠে তেইদের প্রায় চূড়ায় পৌঁছে দেয়। তবে সেই ওপরের স্টেশন থেকে তেইদের চূড়া আরো ২৫০মি আর সেখানে উঠতে গেলে স্থানীয় কর্তৃপক্ষের অনুমতি লাগে, তাই সাধারণ ট্যুরিস্টরা রোপওয়ের শেষে গিয়ে খানিক ঘুরেই ফিরে আসে। ট্যুর গুলো সাধারণত বাসে করে নিয়ে যায়, তাদের তাড়া থাকে আদ্ধেক দিনে সবাইকে ফিরিয়ে আনার, তাই বেশিক্ষণ কাটানো যায়না। সেই সব  বিবেচনা করে আগেই ঠিক করেছিলাম গাড়ি ভাড়া করেই যাব। যে গাড়ি ভাড়া পাওয়া গেল সে তো এক টিনের কৌটো বলা যেতে পারে, তাও একদিন আগে ভাড়া নিয়েছিলাম বলে রক্ষে পাহাড়ি রাস্তায় যাবার আগে বাঁহাতি গাড়ি চালানোর প্রথম অভিজ্ঞতা নাহলে তেমন উপভোগ্য হতোনা। এক দিন চালিয়েও ঠিক বুঝে উঠতে পারিনি ব্যাক গিয়ারটা ঠিক কিভাবে কাজ করে। যাহোক সকালের দিকে কাতারে কাতারে বাস ভিড় করে তেইদেতে তাই যেতে হবে খুব সকালে বা দুপুরের দিকে। ধীরেসুস্থে দুপুরে যাওয়াটাই ঠিক করলাম কারণ সকালের দিকে কুয়াশায় পর্বতের ওপর থেকে কতটা দেখা যাবে সেই ভেবে। ১১টা নাগাদ যাত্রা শুরু হলো পুয়ের্তো দে লা ক্রুজকে পেছনে ফেলে। শহরে যাবার মূল রাস্তা যেখানে হাইওয়েতে মিশেছে সেখানে ডানদিকে মোড় নিয়ে শুরু হলো চড়াই ভাঙা। হাইওয়ে ছেড়েই প্রথম রাস্তায় পড়বে লা ওরোতাবা (La Orotava) বলে একটা ছোট আর সুন্দর শহর। লা ওরোতাবায় নাকি তেনেরিফের যত নামজাদা লোকজন তাদের বাড়িঘর ছিল আঠার উনিশ শতকে।শহরের মেন রাস্তা দিয়ে যেতে যেতেই মনে হছিল রাস্তার চড়াই বেশ খাড়া। ওরোতাবাকে পেছনে ফেলে এগিয়ে চললাম পিকো দে তেইদের দিক নির্দেশ করা রাস্তা ধরে। রাস্তার দুপাশে টিপিক্যাল স্পেনীয় বাড়িঘর, এক এক বাড়ির এক এক রকম আকার আর রঙ, পশ্চিম ইউরোপের মত একঘেয়ে লাল টালির নয়।  বাড়ি দোকান এসবের পেছনে ঘন গাছগাছালি তারপর পাহাড় উঠে গেছে ওপরের দিকে। অন্য দিকে ঢালের দিকে তাকালে নিচে ওরোতাবা আর আরো দুরে পুয়ের্তো দে লা ক্রুজের সীমানা ছাড়িয়ে দিগন্তরেখা অবধি সুনীল অতলান্তিক। খানিক রাস্তা হারিয়ে তারপর ফের আসল রাস্তা খুঁজে পেয়ে এগিয়ে চলল গাড়ি একে একে ছোটো ছোটো জায়গা পেরিয়ে। আসিয়েন্দা পের্দিদা, সিয়েরা ইত্যাদি ছাড়িয়ে প্রথম স্টপ চাসনা বলে একটা জায়গায় শুধু দেখে নেয়া নিচে ফেলে আসা ওরোতাবা উপত্যকা। এখানেই ঘটল অঘটনটা। জেনিফার গোটাকয় ছবি তুলে ফিরেছে, সোফিয়া ঘুমোচ্ছে, ঢালে গাড়ি ব্যাক করতে গিয়ে দেখি গিয়ার কাজ করছেনা, আর যতবার চালু করার চেষ্টা করছি গাড়ি ততবারই খানিটা করে গড়িয়ে সামনের পাথরের দেয়ালের দিকে এগিয়ে চলেছে। যখন ইঞ্চি দুই দুরে, কপালজোরে ব্যাক গিয়ারটা লেগে গেল, আমরা আবার ১০মিনিট ঘাম ঝরিয়ে এগিয়ে চললাম আগুয়ামানসা বলে একটা জায়গার দিকে। একে একে দেখছি উচ্চতা পাল্টাতে আরম্ভ করেছে রাস্তার ধারের মার্কারগুলোয়। আগুয়ামানসা প্রায় ১৩০০ মিটার উঁচুতে সমুদ্র থেকে। আগুয়ামানসার পর রাস্তার দুপাশের দৃশ্য বদলে গেল।  ঘরবাড়ি আর নেই এবার দুদিকেই ঘন চিরহরিৎ গাছের জঙ্গল। পাহাড়ি গাছগাছড়ার সাথে তেমন পরিচিতি নেই তাই পাইন আর রোডোডেনড্রন এদুটোই শুধু চেনা গেল। খানিক পর পরই এই জঙ্গলে ঘেরা রাস্তার মাঝে ভিউয়িং পয়েন্ট যাতে লোকজন থেমে সামনের দৃশ্য দেখার জন্য থামতে পারে। এখান থেকে উত্তরের দৃশ্য অসামান্য। নিচে তাকালে ঘন গাছের মাথা ছাড়িয়ে পুয়ের্তো দে লা ক্রুজ তখন পিং পং বলের মত ছোট।  বাকি চারদিকে নীল আর নীল। কোথায় আকাশ আর কোথায় সমুদ্র তা হলফ করা দুঃসাধ্য, খালি সমুদ্রটা একটু যেন বেশি গাঢ় নীল। অন্যদিকে কুয়াশা ঢাকা পর্বত উঠে গেছে ওপরের দিকে, আর দুরে আবছা দেখা যাচ্ছে তেইদের সীমারেখা। নিচে পুয়ের্তো দে লা ক্রুজে ঝলমলে দিন হলেও এখানে ওপরের দিকে বেশ কুয়াশা, মনটা খানিকটা মুষড়ে গেল কুয়াশা কাটবে কিনা সেই চিন্তায়। রওনা দিয়ে ঠিক করলাম বেলা হয়ে যাচ্ছে আর থামবনা কোথাও তেইদের আগে। জঙ্গল যে কে সেই দুদিকে ছেয়ে আর দেখছি উচ্চতা একটু একটু করে বেড়েই চলেছে ১৫০০..১৬০০..১৭০০মি। 
পাইন অরণ্য তেইদের পথে 
প্রায় ১৮০০ মিটারে এসে একটা বাঁক নিয়েছি হঠাৎ চারপাশটা যেন আবার হুশ করে বদলে গেল। গাছপালা জঙ্গল নিমেষে উধাও, শুরু হয়ে গেছে পাথুরে পর্বতরাশি। আগ্নেয় পাথরের সেই ভূমিরূপে বিচিত্র সব রঙ হলুদ থেকে কমলা আর বাদামী থেকে কালোর কতরকমের যে সংমিশ্রণ হওয়া সম্ভব, সেই পাথুরে এলাকা না দেখলে বিশ্বাস হতনা। আর খানিকটা উঠে চোখে পড়ল বিরাট বড় সাইন পার্কে নাসিওনাল দেল তেইদে (Parque nacional  del Teide)।  এখান থেকেই শুরু তেইদের চড়াই। আমরা তখন প্রায় ১৯০০মি উঁচুতে, আকাশ ঝকঝকে নীল, কোনো মেঘের চিহ্নমাত্র নেই, কুয়াশা ফেলে এসেছি নিচে। প্রায় ২০০০মি উঁচুতে উপস্থিত হলাম এক আশ্চর্য জায়গায় যার নাম মিনাস দে সান হোসে (Minas de San José) বাংলায় অনুবাদ করলে সান হোসে খনি। রাস্তার দুপাশে গাড়ি দাঁড় করানোর জায়গা। এ জায়গা আগে ছিল ঝামা পাথরের খোলা খনি। এখানে পায়ের নিচে জমি কমলা বাদামী মেশানো রঙের ঝামা পাথরের কাঁকর। হাজার হাজার বছর ধরে আগ্নেয়গিরির লাভা, সূর্যের তেজ, দিন-রাতের তাপমাত্রার ওঠানামা আর তেজি হাওয়া এই সবে মিলে তৈরী করেছে সেই অসাধারণ ছবির মত ল্যান্ডস্কেপ। সেই কাঁকরে ঢাকা ঢেউ খেলানো জমি রাস্তার ডানদিকে উঠে গেছে তেইদেকে ঘিরে থাকা পর্বত গুলোর দিকে। এদিকে তাকালে কাঁকরে ঢাকা জমিতে মাঝে মধ্যে চাগিয়ে উঠেছে ছোট বড় পাথরের স্তুপ। আর তার পেছনে অনন্য গরিমায় দাঁড়িয়ে আছে তেইদে পর্বত, ২২০০মি উচ্চতা থেকে দেখলেও মনে হবে পর্বতের মাথা যেন আকাশকে ছুঁয়ে আছে। অন্যদিকে রাস্তার উল্টোপাড়ে সেই কাঁকুরে জমি অল্প ঢালে নেমে গিয়েছে নিচের দিকে। সেদিকে খানিক দূর গিয়ে বড় বড় পাথরের চাঁইগুলোর ভেতর দিয়ে নিচের দিকে তাকালে সে দৃশ্যাবলী মনের মধ্যে চিরদিনের জন্যে গেঁথে থাকবে। পাথরের স্তুপের পর জমি খাড়া নেমে গিয়েছে কয়েকশ মিটার কিন্তু তারপর সমতল জমি বিস্তৃত প্রায় কয়েক মাইল, তার শেষে পর্বতরাজি উঠে গেছে কয়েকশ মিটার। তেইদের চারদিকে সমতলভূমি পেরিয়ে এই পর্বতগুলো নির্দেশ করছে পার্কে নাসিওনাল দেল তেইদের সীমানা, যার উল্টোদিকে ঢাল নেমে গেছে ফেলে আসা পাইন অরণ্যের দিকে। বেশি দেরী হয়ে যাবার চিন্তায় হাতের আর মনের ক্যামেরায় ঊষর সেই তেইদে উপত্যকার ছবি সঞ্চয় করে এগিয়ে চললাম মূল আকর্ষণের দিকে, তেইদে পর্বত আর কেবল কার যার পোষাকী নাম তেলেফেরিকো দেল তেইদে। মূল রাস্তার থেকে ডানদিকে মোড় ঘুরে রাস্তা খাড়াই উঠে গেছে তেইদের এই বেস ক্যাম্পে।
মিনাস দে সান হোসে 
তেইদে উপত্যকা 
 তেইদের রোপওয়ের সেই নিচের প্রান্তে তখনো গাড়ির ছড়াছড়ি। মেন কারপার্ক ছাড়াও চড়াই রাস্তার আশেপাশে পাথরের ওপর অনেক পার্কিংয়ের জায়গা, সব ভর্তি। ভাগ্যক্রমে একটা জায়গা খুঁজে পেয়ে গাড়িটা রেখে রওনা দিলাম টিকিট কাউন্টারের দিকে। গিয়ে দেখি রোপওয়ের কর্মচারী বলছে সোফিয়ার ওপরে যাওয়াটা নিরাপদ নয়। রোপওয়ের অপরের প্রান্ত ৩৫৪০মি উঁচুতে, সেখানে অক্সিজেন তুলনামূলক ভাবে অনেক কম। প্রাপ্তবয়স্ক মানুষের তেমন অসুবিধা না হলেও ছোট বাচ্চাদের শ্বাসকষ্ট শুরু হতে পারে। এই সব ভেবে জেনিফার রয়ে গেল সোফিয়ার সাথে নিচে, আমি টিকেট কেটে দাঁড়িয়ে পড়লাম রোপওয়ের লাইনে। কেবল কারের এই জায়গাটা থেকে তেইদের শিখর দেখা যায়না। সামনের ঢালটা এত খাড়া যে চূড়াটা তার পেছনে ঢাকা পড়ে আছে। রোপওয়ে বলতে এলাহী ব্যাপার। বিরাট বড় বড় টাওয়ার তার দুদিকে দুটো কেবল লাইন, একটা কার যখন নিচে, অন্যটা তখন ওপরে, দুটো একসাথে যাত্রা শুরু করে সব সময়, ২৫০০মি থেকে ৩৫৪০মি এই পুরো দূরত্ব যেতে সময় লাগে মোটে ৮ মিনিট। লাইনে বাঙালির অভ্যেসমত ঠেলেঠুলে একদম সামনে দাঁড়িয়ে পড়লাম কেবল কারের কাঁচে ঘেরা বাক্সর সামনে জায়গা করে নেবার জন্য। একটু দোল খেয়ে কার যখন চড়া শুরু করলো তখন বেশ উত্তেজনা বোধ করছিলাম, ৫০মি নাগাদ যাবার পর যখন সেটা পুরো গতিতে চলতে শুরু করলো হঠাৎ খেয়াল হলো মাটি থেকে প্রায় ৫ তলা উঁচুতে রোপওয়ে চলছে, দড়ি ছিঁড়ে গেলে সাথে সাথে ভবলীলা সাঙ্গ । তার ওপর প্রতিটা টাওয়ার ক্রস করার পর ফিজিক্সের নিয়ম মেনে কেবল লাইনটা খানিকটা নিচে নেমে আসে আবার ওপরের দিকে যাবার আগে, সেই সময়টা মনে হয় যেন কারটা নিচের দিকে পড়ে যাচ্ছে। যাহোক, রাস্তার মাঝামাঝি সেই খাড়া চড়াই শেষ হলো, সামনে দাঁড়ানোর সুফল এতক্ষণে পাওয়া গেল, সামনে তেইদের শৃঙ্গ সমস্ত জানলা জুড়ে। ঠিক ৮ মিনিটের মাথায় কার থামল ওপর প্রান্তে। পুয়ের্তো দে লা ক্রুজ ছাড়ার সময় তাপমাত্রা ছিল ২৮, এই ৩৬০০মি উঁচুতে সেটা দাঁড়িয়েছে ৮ ডিগ্রী। বাইরে বেরিয়ে তেইদের দিকে তাকিয়ে মনটা উদাস হয়ে গেল। উত্তরবঙ্গে কলেজে থাকার সময় পাহাড়ে যেত বন্ধুরা কিন্তু আমার সেরকম পাহাড় চড়ার অভিজ্ঞতা হয়নি। এতদিন বাদে সাত সমুদ্র তেরো নদী পেরিয়ে দাঁড়িয়ে রয়েছি স্পেনের শীর্ষতম শৃঙ্গের প্রায় চূড়ায়, মাঝের পনের বছরে জীবন বদলে গিয়েছে বেশ। আর সেই মুহুর্তে এখানেও আমি একেবারে একা, এই অসাধারণ অভিজ্ঞতা কেবল আমার মনেই রয়ে যাবে, খানকয় ছবি থাকবে বটে কিন্তু সেই শিহরণ জাগানো মুহুর্তটা ভাগ করে নেয়া যাবেনা আর কারো সাথে। এসব ভেবে তাড়াতাড়ি আবার নিচে ফেরত যাব ঠিক করে খানিকটা দেখে নিলাম যতটা সম্ভব। রোপওয়ের ঘরের বাইরে পাথর কেটে তৈরী করা রাস্তা দুদিকে চলে গেছে দুটো ভিউয়িং পয়েন্টের দিকে। পশ্চিম দিকে গেলে দেখা যাবে আর একটা মৃত আগ্নেয়গিরি পিকো বিয়েখো (Pico Viejo), আর পূর্বদিকের পথের শেষে দেখা যাবে পুরো উত্তর দিকের ভূমিরূপ, কালো লাভা, মন্তে ব্লানকো পাইন অরণ্য ওরোতাবা উপত্যকা। আর এই দুই রাস্তার মাঝে ধাপে ধাপে কাটা পাথরের পায়ে হাঁটা পথ উঠে গেছে তেইদের শিখরে যেখান থেকে নাকি বাকি ছটা ক্যানারী দ্বীপপুঞ্জের দ্বীপই দেখা যায়। ট্র্যাভেল গাইড বলছে তেইদের চুড়ায় গেলে রাতটা সেখানেই কাটাতে তাহলে সকালে সূর্য ওঠার সময় এক অত্যাশ্চর্য ঘটনা দেখা যায় যখন তেইদের তিনকোণা ছায়া ধীরে ধীরে ছড়িয়ে পড়ে দুর থেকে দুরান্তে। এই ভরা দুপুরেও রোপওয়ের এই প্রান্ত থেকে সামনের দৃশ্যের বর্ণনা করা সাধ্যের বাইরে। উত্তর দিকে সমস্তটা জুড়ে তেইদে পর্বত পড়ন্ত রোদে ঝলমল করছে। নিচের দিকে খালি দক্ষিণ দিকটাই ভালো করে দেখা যাচ্ছে, সেদিকে যতদুরে চোখ যায় পাহাড় আর পাহাড় যেন ধাপে ধাপে নেমে যাচ্ছে অতলান্তিক মহাসাগরের বুকে। একটা নতুন শব্দের সাথে প্রথম পরিচয় হলো এই সময়। টিকিট কাউন্টারে দেখছিলাম লেখা আছে "Visibility limited due to Calima", এই কালিমা হলো গরম হাওয়া, নিচের দিকের পাথর গরম হয়ে সৃষ্টি এই কালিমার দরুন সামনের দৃশ্য অনেকটাই আবছা, অনেকটা যেন কুয়াশার বিপরীত। পায়ে হাঁটা রাস্তার দুদিকেই বড় বড় পাথরের স্তুপ, বাতাসে গন্ধকের চড়া গন্ধ, পৃথিবীর কেন্দ্রের সেই গলন্ত লাভায় মিশে থাকা গন্ধক পাথরে পরিনত হয়েছে। সামনের তিনটে পথের কোনটাতেই যাবার সময় বা অনুমতি নেই কাজেই আবার দাঁড়িয়ে পরলাম নিচে ফিরে আসার লাইনে, এবারো জানলার সামনের দিকে, তবে দক্ষিণে যেদিকে নামব সেদিকে মুখ করে। পায়ের নিচে পড়ে রয়েছে ১০০০মি পাহাড়। গায়ে কাঁটা দেয়া দৃশ্য আর পায়ের তলার আপাত ভারহীনতায় ভরা ৮ মিনিটে সেই দুরত্ব অতিক্রম করে আবার যাত্রা শুরু হলো দিনের শেষ গন্তব্যে, লস রোকেস দে গার্সিয়া (Los roques de García) আর য়ানো/যানো দে উকাঙ্কা (Llano de Ucanca), তেইদের কারপার্ক থেকে মাত্র পাঁচ মিনিট দুরে।
তেইদের চূড়া রোপওয়ের ওপরের প্রান্ত থেকে 
কেবল কার আর নিচের লাভায় তৈরী ভূমিরূপ 
তেইদের কার পার্ক থেকে পরের আকর্ষণ অনেকে হেঁটেও যায়, গাড়ি চলা রাস্তার থেকে দুরে একটা হাঁটাপথ আছে তেইদের পাদদেশের পাথুরে সমতলের মধ্যে দিয়ে। রাস্তার বাঁদিকে পারাদোরেস বটে একটা হোটেল, এমন অসাধারণ প্রাকৃতিক সৌন্দর্যের মাঝে অবস্থিত এই হোটেলে রুমের চাহিদা বলাই বাহুল্য অশেষ, বিশেষ করে পর্বতারোহী হাইকারদের কাছে তেইদে আর তার চারপাশের এলাকা যখন স্বর্গোদ্যানের সমান। আসল চমক তবে রাস্তার ডানদিকে। মেন রাস্তা থেকে বাঁক নিয়ে এখানে রাস্তার দুপাশে গাড়ি রাখার জায়গা। ১০০-১৫০মি দৈর্ঘ্যের সেই রাস্তার শেষে এক ভিউয়িং পয়েন্ট। ডানদিকে উঁচিয়ে থাকা পাথরের স্তুপের পোষাকী নাম লস রোকেস দে গার্সিয়া। কেউ কেউ আবার বলে লা রুলেতা। যে নামেই ডাকা হোক না কেন, গড়িয়ে আসা বিকেলের সূর্যের আলোয় এই পাথরের স্তুপের সৌন্দর্য অসামান্য। আগ্নেয় শিলার এই স্তুপের পরতে পরতে বিচিত্র সব রঙের খেলা। একদম ডানদিকে, তেইদের চুড়াকে পেছনে রেখে দাঁড়িয়ে আছে প্রবাদপ্রতিম এক প্রাকৃতিক শিলারূপ, তেইদে ন্যাশনাল পার্কের যে কোনো বর্ণনায় যার ছবি বা উল্লেখ পাওয়া যায়। পাথরের এই রাশির আকার অনেকটা উল্টোনো কমার মত, হাজার হাজার বছরের প্রাকৃতিক অবক্ষয়ের ফলে সৃষ্ট এই অবয়ব যে কোনো ভাস্করের কৃতির সাথে পাল্লা দিতে পারে। পাশের পাথরের ঢিবির ওপর চড়ার ছোট ছোট ধাপ রয়েছে, কিছুটা ওপরে উঠতে পারলে চারদিকের দৃশ্য মন ভরিয়ে দেয়। উত্তরে শুকনো জমিতে বেড়ে ওঠা ঘাস আর ছোট ছোট ঝোপে ঢাকা সমতলভূমি চলে গিয়েছে তেইদের পাদদেশ অবধি। খানিকটা পশ্চিমে দেখলে রয়েছে পিকো বিয়েখো, আর দক্ষিণ পূর্বে অবস্থান করছে মন্তে গুয়াখারা (Mt Guajara)। সেদিক থেকে চোখ সরিয়ে দক্ষিনে তাকালে সামনের দৃশ্য অতিপ্রাকৃত। গুয়াখারার পেছন থেকে পর্বতের সারি বিস্তৃত পুরো দক্ষিন আর দক্ষিন পূর্ব দিক জুড়ে। তবে সেই পর্বত আর ভিউয়িং পয়েন্টের মাঝে ছেয়ে রয়েছে এক সুবিশাল সমতল ভূমি যার নাম য়ানো (স্পেনীয় উচ্চারণ) বা যানো (দঃ আমেরিকা) দে উকাঙ্কা।  রাস্তার উল্টোদিকে পাহাড়ের গায়ে ধাপ কেটে সিঁড়ি তৈরী ভিউয়িং পয়েন্ট লস আজুলেখোস (Los Azulejos) যেখান থেকে উকাঙ্কা সমতলভূমিকে খানিকটা ওপর থেকে আরো ভালো করে দেখা যায়। ধু ধু করা সেই জমির থেকে উঠে আসছে হালকা কালিমা, মাঝে মধ্যে লাভাস্রোতে তৈরী বিচিত্র সব ঢেউ খেলানো আকার আর আগ্নেয় শিলারূপ - এসবের সমষ্টিতে তৈরী সুররিয়াল দৃশ্যকল্পের জন্য উকাঙ্কাকে মঙ্গল গ্রহের ভূমিরূপের সাথে তুলনা করা হয়। মন বিহ্বল হয়ে যায় এমন জায়গায় দাঁড়িয়ে, মনে পড়ে যায় "মহাবিশ্বে মহাকাশে মহাকালমাঝে ..." 
রোকেস দে গার্সিয়ার শিলাস্তুপ 
রোকেস দে গার্সিয়া / লা রুলেতা আর পেছনে তেইদে পর্বত 
য়ানো/যানো দে উকাঙ্কা (উকাঙ্কা সমভূমি)
সম্বিত ফিরে আসে জেনিফারের ফোন সোফিয়ার জলের কাপে পড়ে যাওয়ায়। এবার ফেরার পালা, মন যদিও চায় এই বিশালতার মাঝে দাঁড়িয়ে নিজের অস্তিত্বকে অনুভব করতে। ফেরার পথে আর দাঁড়ানো নয়, সোজা পুয়ের্তো দে লা ক্রুজ। দেখা হলনা অনেক কিছুই —তেইদের জ্বালামুখ, ভোরের সেই ত্রিভুজ ছায়া, স্পেনের সর্বোচ্চ গ্রাম বিলাফ্লোর (Vilaflor), গুয়াখারার বিপরীত ঢালে অবস্তিত পাইসাখে লুনার (Paisaje Lunar) বা চান্দ্রেয় ভূমিরূপ, তেইদে থেকে রাতের আকাশ - তবে সেসব তোলা রইলো ভবিষ্যতের জন্য, সোফিয়া একটু বড় হলে আবার আসা যাবেখন। ফেরার পথ যদিও একই রাস্তা, দুরত্ব মনে হচ্ছে যেন তিনগুন, আর উৎরাইতে গাড়ি চালানোও কঠিন। পাইন অরণ্য ছাড়িয়ে আগুয়ামান্সার কাছে আবার এক ভিন্ন অভিজ্ঞতা। ওরোতাবা উপত্যকার গা ঘেঁষে নেমে আসা রাস্তা তখন মেঘে ঢাকা। ফগ লাইট জ্বালাতে হলো গাড়িতে, এরকম চলল বেশ কিছু মাইল প্রায় খোদ ওরোতাবা শহর অবধি। ততক্ষণে পাহাড়ের গা জুড়ে লেগে থাকা মেঘের দেয়ালের ওপর থেকে নিচ পুরোটাই ছাড়িয়ে নিচে দেখা যাচ্ছে মেঘে ঢাকা পুয়ের্তো দে লা ক্রুজ। প্লেনে চড়ার সময় এরকম অনুভূতি হয় জানি যেখানে মেঘের নিচে অন্ধকার অথচ ওপরে সব পরিস্কার, কিন্তু রাস্তাতেও যে এরকম ঘটনার সাক্ষী হতে হবে কখনো ভাবিনি। নিজের চোখে না দেখলে বিশ্বাসই করতে পারতামনা যে মেঘে ঢাকা বিমর্ষ করে দেয়া সেই বিকেলে মেঘের সীমানা ছাড়িয়ে এমন জায়গাও আছে ওপরের দিকে যেখানে আকাশ নীলে নীলাকার, সেখানে ঘন্টার পর ঘন্টা খুঁজলেও এক টুকরো মেঘ চোখে পড়বেনা।  একটা দার্শনিক উপলব্ধি হল যে এই ধারনাটা আমরা আমাদের জীবনেও প্রয়োগ করতে পারি - যখন পরিস্থিতি প্রতিকুল, মন বিষন্ন তখন এই বিকেলটার কথা মনে করে মনকে বলা যেতেই পারে যে ওপরের ওই মেঘের রাশি, জীবন সেখানেই সীমিত নয়, প্রতিকুলতার বিরুদ্ধে মাথা তুলে মেঘের ওপারে তাকালেই সেখানে তখন ঝলমলে এক দিন, নীল আকাশ বিরাজ করছে। খালি মনে বিশ্বাস বজায় রাখতে হবে যে সেটা সম্ভব।

যখন এই লেখাটা লিখতে বসেছি প্রায় দুসপ্তা সময় পার হয়ে গেছে। জীবন ফিরে এসেছে আবার সেই গতানুগতিকে - অফিসের চাপ, আর্থিক চিন্তা, সাংসারিক টানাপোড়েন জীবনকে আবার গ্রাস করে নিয়েছে। কিন্তু মনের মধ্যে রয়ে গেছে সূর্যালোকে ঝলমল করা উষ্ণ তেনেরিফের দিনগুলো বিশেষ করে সেই ৫ই অক্টোবরের স্মৃতি।  সেখান এখনো অমলিন হয়ে বিরাজ করছে তেইদের অভ্রংলীহ চূড়া, কেবল কারের রোমহর্ষক যাত্রা, উকাঙ্কার অপ্রাকৃত ভূমিরূপ আর রোকেস দে গার্সিয়ার অনবদ্য শিলারূপগুলো। সেই স্মৃতিগুলো যা মনে করিয়ে দেবে যে দৈনিক টানাপোড়েনের শেষে আবার এসে যাবে একটা ছুটি, আবার একটা হাতছানি পৃথিবীর অন্য কোনো প্রান্তে লুকিয়ে থাকা অন্য কোনো অপার্থিব অভিজ্ঞতার। এখনো অনেক দেরী তার তবে এক এক দিন করে ঠিকই কেটে যাবে একটা গোটা বছর, ততদিন তো রইলই তেইদের সঙ্গ…

পরিশেষ: সাধারণত ভ্রমনের অভিজ্ঞতা আমি লিখি ডায়েরিতে, খুব কম লেখাই আছে বৈদ্যুতিন মাধ্যমে। বিশেষ করে পশ্চিম ইউরোপে ক্যানারী দ্বীপপুঞ্জ নিয়ে অনেকেই জানে আর  আসাটা খুবই প্রচলিত। অন্যদিকে বাঙালী সমাজে ইউরোপ বেড়ানোর চল মুদ্রাহারের তারতম্যের জন্য বেশ বিরল, তবু স্বচ্ছল পরিবারের মানুষরা বেড়াতে যায় সাধারণত আর পাঁচটা দর্শনীয় জায়গা বলে আমরা যেগুলো সারা জীবন জেনে এসেছি, যেমন লন্ডন, প্যারিস, দক্ষিন ফ্রান্স, ইতালি গ্রীস সুইজারল্যান্ড। স্পেন বেড়ানোর তেমন চল যে আছে তা দেখিনি, আর থাকলেও সেটা মূল ভূখন্ডেই সীমাবদ্ধ মাদ্রিদ, সেবিলা, বার্সেলোনা, মালাগা। সুদুর অতলান্তিকের ক্যানারী দ্বীপপুঞ্জে বাঙালি পর্যটক আশা করাটা দুষ্কর আর অভিজ্ঞতাও সেটাই দেখালো। ভারতীয় টুরিস্ট একজনও দেখেছি বলে মনে করতে পারছিনা। কিছু ভারতীয় বংশোদ্ভূত পরিবার থাকে তেনেরিফেতে, পেশায় মূলত ব্যবসায়ী কিন্তু সেই অবধিই। বাঙালীদের সাথে সাক্ষাত হয়নি বললে ভুল হবে। ইংল্যান্ডের মত অসংখ্য না হলেও তেনেরিফেতে গোটাকয় ভারতীয় রেস্তোরাঁ আছে যেগুলো চালায় সিলেটি বাংলাদেশীরা। বাঙলার সাথে ওটুকুই যা যোগাযোগ। সে কথা ভেবেই এ লেখার অবতারণা যাতে অতলান্তিক মহাসাগরের বুকে আগ্নেয় পর্বতে ঘেরা সেই তেনেরিফের একটা চিত্র তুলে ধরা যায় বাঙালিদের কাছে।